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31 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Face à l’offensive de l’association COET MOF, organisatrice du concours MOF, qui vise à banaliser un titre qui a toujours eu pour vocation de promouvoir l’excellence dans tout les métiers, les MOF sont aujourd’hui très en colère.
Mercredi 14 Mars 2018, une délégation de MOF et de fédérations de métiers se sont réunis autour de Monsieur le député Richard Ramos à l’Assemblée Nationale, pour réunir nos forces, nous faire entendre, rappeler modestement nos heures bénévoles gaspillées et dénoncer les dérives que nous impose le COET pour l’organisation du 26ème concours MOF.
Suite à cela est né le mouvement 100 MOF en colère !
Relayé sur Facebook, où MOF, non MOF, Compagnon, professionnel, professeur parle un même langage : le concours MOF est une référence, faisons confiance aux professionnels pour répondre aux exigences d’un concours prestigieux. Arrêtons de vouloir faire tout rentrer dans des cases et nivelé vers le bas les branches professionnellse.
Ce concours MOF n’est pas à nous, en 1924, nous n’étions pas nés… Gardons les valeurs qui l’on vu naître, faire reconnaître les métiers et les ouvriers, artisans, artisans d’art sur un travail d’exception, un travail que l’on fait une fois dans sa vie, ne pas faire juste ce que l’on sait faire mais faire plus, ne pas faire comme les autres, c’est ça le savoir-faire français, le made in France que le monde nous envie.
Faire confiance aux professionnels (de métiers – pléonasme, mais faut il le rajouter pour le faire comprendre) MOF et non MOF et nous y tenons, car ce n’est pas un concours fermé, qui mieux qu’eux connaissent le métier, le parcours d’apprentissage, le degré d’exigence…
Alors et après plusieurs dates soumises, la date du Mardi 17 Avril 2018 à 16h30, Place Edouard Herriot, 75007 Paris face à l’Assemblée Nationale est définitivement arrêtée, plus de 100 MOF ont décidé de faire bloc, d’être solidaire et dans tout les métiers, pour se regrouper et protester dans le calme pour faire entendre la voie professionnelle, contre cette dérive.
30 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le Lathyrus odoratus de la Famille des Fabacées doit son nom à l'odeur forte caractéristique que les fleurs se propagent, vous le connaissez, c’est le joli et fragile pois de senteur.
Chez ce producteur, ils sont cultivés de manière traditionnelle en pleine terre dans la serre. Cette variété a une haute résistance aux maladies, aux pestes et aux insectes, il pousse donc de manière très écologique.
La culture commence par semer les graines dans des plateaux. Après deux semaines, ils sont repiqués en serre. Les premières fleurs apparaissent au bout de 10 semaines et la récolte commence.
Nous cultivons Lathyrus Odoratus presque toute l'année, de la mi-février à décembre inclus. Notre assortiment contient presque toutes les couleurs.
Chaque année ce spécialiste récolte environ 3,5 millions de tiges. D'avril à juin, la production est à son apogée, environ 120 000 tiges sont récoltées chaque semaine.
Le transport est délicat et les bottes voyagent dans des gobelets bloqués sur des plaques alvéolées. Vous les retrouverez bientôt chez votre fleuriste.
Sources : www.lathyrus.nl
21 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (1)
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Créé en 2004 par l’Institut Curie, Une Jonquille pour Curie est une campagne nationale de solidarité contre le cancer et un signe fort de soutien et de générosité pour les patients et les 3400 chercheurs, médecins et soignants de l’Institut Curie qui font de leur quotidien un combat de chaque jour contre le cancer.
Tout au long du mois de mars et plus particulièrement du 13 au 17 mars 2018, la France entière est invitée à se mobiliser et porter haut les couleurs de la jonquille, symbole universel de cette grande cause.
L'Institut Curie poursuit sa lutte sans relâche contre le cancer et mène ses programmes de recherche et d’innovation grâce à la générosité du public.
Vos dons permettent d’accélérer les découvertes et améliorer les traitements et la qualité de vie des malades.
En 2018, la 14ème édition d’Une Jonquille pour Curie se lance le défi de collecter 600 000 € pour soutenir la création du premier centre pédiatrique intégré de France, entièrement dédié aux cancers des moins de 25 ans : SIREDO.
SIREDO, guérir plus de jeunes patients et préserver leur avenir.
Chaque année, plus de 700 jeunes dont 300 nouveaux patients sont suivis à l’Institut Curie. Avec SIREDO, un nouveau cap est franchi, ce centre rassemblant, les forces vives de l’Institut : équipes de recherche pédiatrique et médecins se mobilisent, autour des enfants, pour accélérer le combat contre les cancers touchant les plus jeunes.
Grâce aux progrès réalisés au cours des quatre décennies, 8 enfants sur 10 guérissent. Mais malgré ces avancées, le cancer reste la 2ème cause de mortalité chez les moins de 15 ans, après les accidents.
Lien vers le site « une jonquille pour Curie »
15 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le lierre symbole de vie éternelle: "je meurs où je m'attache". Il existe un vaste choix de couleurs de feuilles, toutes les variétés de lierre ayant en commun une croissance rapide et se laissant facilement orienter pour recouvrir des clôtures, parois de séparation, pergolas ou petits murs. En tant que tapis végétal, l’Hedera empêche le développement de mauvaises herbes et constitue ainsi un assistant très utile et très décoratif dans le jardin.
Le nom Hedera est dérivé d’un vocable indo-européen très ancien signifiant « saisir » ou « accrocher », en référence à ses racines « adhésives ».
La plante restant toujours verte, elle est symbole de vie éternelle.
Le lierre joue un rôle très important dans le biotope d’un jardin : les oiseaux se nichent volontiers dans son feuillage et les insectes s’y abritent fréquemment. Le lierre enrichit ainsi le cycle de renouvellement de son environnement.
Dans les légendes celtes et germaniques, le lierre est largement présent en tant que protecteur (excellente isolation contre le froid et la chaleur lorsqu’il couvre les murs), porte-bonheur et source d’espérance. Surtout lorsque la nature hiberne, le feuillage du lierre nous rappelle que le printemps reviendra bientôt.
Conseils de soins:
Sources images et texte : office Hollandais des Fleurs
13 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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J'ai travaillé pendant 17 ans de 1964 à 1981 à Bourg en Bresse . J'ai appris mon métier avec Noëlle Gayraud . Cette fleuriste est morte assassinée il y a maintenant 40 ans.
Elle est née un 8 décembre en 1943, si je ne me trompe pas. Ses parents avaient un magasin de fleurs où je suis arrivé comme apprenti en 1964.
C'était une fleuriste très active qui travaillait très bien, de façon très moderne, elle tenta le concours de Meilleur Ouvrier de France dans les années 70, mais ne fut reçu que médaille d'argent ( à cette époque il y avait des médailles d'or, le titre, et des médailles d'argent) . Elle était très impliquée dans la profession, elle était secrétaire du syndicat des fleuristes et participa activement à la création du groupe des jeunes fleuristes.
Les premières cessions de formation eurent lieu dans la région de Bourg en Bresse avec toute une génération de grands fleuristes des années 70. C'était au début des nouvelles techniques florales, des nouveaux produits, des nouvelles couleurs.
En 1978 elle décida d'ouvrir sa propre boutique : "la boutique aux fleurs" toujours à Bourg en Bresse.
Malheureusement elle ne la vit jamais. Un soir du mois de mars elle partit visiter une maison dans la Dombes pour établir un devis pour une décoration de mariage et elle n'est jamais revenue. Un pervers avait trouvé ce stratagème pour l'attirer dans un endroit isolé, la torturer, la violer et la tuer. Son assassin fut arrêté, on a retrouvé son corps mutilé dans un trou d'eau . Il ne fut pas jugé, car déclaré irresponsable.
On a peu parlé de cet assassinat car cela c'est passé en même temps que la mort de Claude François et c'est lui qui a monopolisé toute l'information.
J'ai une pensé pour elle et pour ses frères et sœurs et les quelques amis et anciens collègues qui liront ces lignes.
08 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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08 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rien ne fait entrer le printemps aussi vite dans la maison que le narcisse. Des pousses vertes de son bulbe sortent de tiges lisses surmontées de boutons marron clair qui éclosent en belles trompettes. Une floraison presque instantanée qui résonne à l'intérieur comme un cri de bonheur. Et tout dans cette magnifique fleur respire les prémisses du printemps. C’est un bulbe en pot rêvé pour fleurir l'intérieur quand le froid de l'hiver sévit encore à l'extérieur. Les boutons s'ouvrent rapidement et, dans le silence de la maison, vous pouvez presque les entendre se défroisser en ouvrant leurs pétales.
La plante porte le nom d'un chasseur de la mythologie grecque, complètement imbu de sa personne. Narcissus aimait tant admirer son propre reflet dans l'eau qu'il finit par s'y noyer. C'est la raison pour laquelle les narcisses tournent toujours un peu la face vers le bas.
Le narcisse est également la plante nationale du pays de Galles. Au début, c'était une question d'apparence : les soldats du début du moyen âge portaient un narcisse sur leur bonnet pour se différencier de l'ennemi. Plus sympathique que le poireau, le narcisse est devenu au fil du temps le symbole national. Le narcisse pousse et fleurit abondamment dans la nature galloise, ce qui joue bien entendu en sa faveur.
Sources : Office Hollandais des Fleurs ma plante mon bonheur
06 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (1)
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04 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (1)
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01 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
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