À l’origine, il provient des endroits les plus exotiques au monde : Madagascar et l’île Maurice. On le trouve encore à l’état sauvage au Brésil, en Californie et en Australie. Avec son look de palmier ondulant, le Chrysalidocarpus donne tout de suite un sentiment positif de «flow & grow». Associé à des pots carrés et droits, on crée un contraste magnifique avec la riche touffe de palmes sauvages.
Le Chrysalidocarpus est un oasis de feuilles vertes et décoratives pour la maison. A sa façon, il se tient droit sur ses tiges-feuilles jaunes au motif de taches noires. Les nouvelles feuilles se dévoilent progressivement et lacroissance du Chrysalidocarpus est d’une rapidité telle qu’à un certain moment on ne peut plus le déplacer. Des modèles pour toute la maison
Les palmiers existent dans toutes les tailles. Par exemple, les versions de cinquante centimètres pour les rebords de fenêtres, de un mètre à poser au sol ou encore de plus d’un mètre et demi, soit, au sens propre comme au sens figuré, une grandeur pour la maison.
Le Chrysalidocarpus est disponible chez les fleuristes et en jardineries. Il aime l’eau et la lumière (à arroser régulièrement et baigner une fois par semaine). Il préfère éviter les éclairages trop forts, les courants d’air et les écarts de température. Un peu d' engrais pour plantes vertes une fois toutes les deux semaines et… Voilà un vrai Palm Beach à la maison.
Sources : Office Hollandais des Fleurs