C’est la fin de l’été et l’hortensia ou Hydrangéa se donne sans compter et réserve bien des surprises. C’est une véritable boule à facettes !
S’il peut être un bouquet à lui seul, triomphant sur sa haute tige, il éblouit aussi coupé court, disposé sur une coupelle. Avec lui, aucun besoin d’en rajouter car il sait tout simplement se faire remarquer.
Rouge, rose, violet, blanc, vert, bleu... il attire les regards grâce à sa lumineuse palette. L’hortensia ne se fane pas vraiment, il sèche. Ses teintes deviennent alors plus sourdes, sophistiquées et raffinées pour que l’on puisse en profiter encore plus longtemps. Il peut aussi se parer de teintes plus sombres et automnales comme le bronze, le marron, l’argile... A fleurs doubles, en boule, avec de petites fleurs au centre et d’autres plus grandes sur le pourtour, avec une allure de plumet... Il ne cesse d’étonner !
Dans le langage des fleurs, l’hortensia a de multiples significations. On le lie aisément à la gratitude, la grâce, la beauté. Mais il peut aussi en blanc ou rose être synonyme d’amour et d’attachement. On n’hésite donc pas à l’associer aux grandes occasions comme les mariages ou les anniversaires.
Prendre soin de ses hortensias :
C’est le moment de profiter de l’Hortensia !
Sources texte : lajoiedesfleurs.fr , images Office Hollandais des Fleurs
23 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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La qualité de l' air à Londres est une préoccupation croissante et on estime que la pollution est responsable de plus de 9500 morts chaque année. Bien que des mesures aient été prises pour dépolluer l'air de la capitale, les niveaux continuent à s’élever au- dessus des lignes directrices de sécurité de l' UE.
Les principaux responsables sont des particules fines (PM 2,5 ) et le dioxyde d'azote (NO 2 ) créé principalement par les émissions de diesel des voitures, camions et autobus.
Les APU de Treebox sont des jardins verticaux qui intègrent les plantes qui par un processus de phytoremédiation, éliminent les polluants de l'air. Une nouvelle technologie, connue sous le nom aerogation, accélère la vitesse à laquelle le mur vert traite les polluants par jusqu'à 200 fois. Chaque unité peut produire plus de 800,000L d'air purifié chaque jour et apporter des améliorations immédiates importantes. Ils sont alimentés par des sources renouvelables solaires ou autres et conçus pour durer plus de 10 ans.
Les meilleurs emplacements pour commencer sont les abribus. Ils sont au niveau des piétons, à proximité des sources d'émission et l'utilisation d'un espace qui est souvent négligé pour des projets d'infrastructure verte.
La Sté Treebox commence à produire une flotte de ces systèmes et Staffordshire University teste l'efficacité de ces unités et publiera les résultats plus tard cette année.
processus naturel des plantes
Je suis impatient de connaître ces résultats, la notion de plantes dépolluantes est souvent controversée et cette expérience peut prouver leur efficacité.
Sources : Sté Treebox
Mon article sur les plantes dépolluantes de juin 2009
22 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Pendant le week-end du 15 août des milliers de Bruxellois ont pu admirer le tapis de fleurs de leur grand-place.
Organisé par l'association sans but lucratif Tapis de Fleurs qui réunit un comité de professionnels (illustrateurs, graphistes, architectes paysagistes). Une fois que le thème a pris forme, cette année l’aùmitié avec le Japon, le nombre de fleurs est calculé et les combinaisons de couleurs sont établies. Les centaines de milliers de fleurs nécessaires à la composition de coupe sont réservées très longtemps à l' avance. Plusieurs jours avant l'inauguration, un dessin pleine grandeur est exécutée sur des feuilles de micro-perforé en plastique qui sont prévues au - dessus des pavés de la Grand-Place. La veille de l'ouverture, les espaces entre les motifs floraux sont remplies en utilisant des rouleaux de gazon. Les fleurs sont étroitement posées très serrées, 300 par mètre carré, soit environ 600.000 fleurs en tout!
Regardez cette vidéo, qui nous fait découvrir le ramassage des ces bégonias et l’installation en 4 heures par une centaine de bénévoles.
Source : flowerweb
19 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Des chercheurs de l' Université de Wageningen expérimentent la culture de la vanille en serre en Hollande. Cela devrait fournir une solution à la pénurie de cet épice très recherché et très cher.
La vanille est l'une des épices les plus chères du monde, un kilo de vanille peut valoir environ 300 $. Beaucoup de grands utilisateurs de l'épice, tels que Coca-Cola, doivent opter pour des parfums synthétiques.
Un consortium de producteurs et de scientifiques de Wageningen étudient la possibilité de cultiver la vanille dans les serres hollandaises.
Ces chercheurs estiment qu'il y a un marché pour la vanille cultivé de façon durable des Pays-Bas. "Il existe une demande croissante pour les produits naturels," explique le chercheur de culture Filip van Noort. "Les serres hollandaises peuvent produire la vanille organique avec la plus faible empreinte carbone possible. Les serres sont maintenant très équipées, l'eau est réutilisée autant que possible et elles sont très économes en énergie ".
Le consortium travaille avec l'Université de Leiden, et le Hortus Botanicus de Leyde pour trouver les meilleurs espèces. Après la réussite des cultures de tomates sous serre peut être verrons nous d’ici 2 ans des productions de vanille hollandaise et n’oublions pas que cette vanille est une orchidée !
16 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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15 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le Tapis de Fleurs est, tous les deux ans, l’occasion de (re)découvrir ce joyau architectural et patrimonial. L’ensemble de la Grand-Place est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2000.
C’est le cœur historique de Bruxelles. Le style gothique y voisine le baroque opulent, le néo-classique ou encore le néo-gothique. La Grand-Place est considérée par ses admirateurs comme « la plus belle place du monde » ! Sa construction débute au 15ème siècle, par des halles, des maisons de corporations et un Hôtel de Ville. Bombardée pendant 3 jours par l'armée française en 1695, elle est presque totalement détruite mais sera reconstruite en moins de 5 ans, notamment par les différentes corporations. La tour de l’Hôtel de Ville s’élève à environ 96 mètres.
Plus de 600 000 fleurs composent cette gigantesque décoration
Le Tapis de Fleurs mesure 75 m de long sur 24 m de large. 1.800 m2 de bégonias, environ 300 fleurs coupées par m2 ! Une centaine de bénévoles assemblent le tapis en 4 heures. Le Tapis de Fleurs de Bruxelles se déroule tous les deux ans, sur la Grand-Place depuis 1971.
Tous les deux étés, le week-end du 15 août, le Tapis de Fleurs est l’occasion de flâner sur la Grand-Place, trésor d’architecture gothique, de respirer les bégonias, d’en admirer les détails. Ce spectacle extraordinaire se complète par une visite sur le balcon de l’Hôtel de Ville, qui offre une vision grand angle de l’œuvre. Un thème musical est spécialement composé à chaque édition. Un concert est donné sur la Grand-Place tous les soirs et accompagne un magnifique son et lumière.
Site Internet de cette manifestation flowercarpet
15 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Ce n’est pas une plante que j’aime, le cactus et ses épines est une plante trop agressive à mon goût, mais je dois reconnaître que c’est une plante très décorative et très facile à conserver chez soi. Facilement associé à la chaleur, il est surtout une plante sculpturale qui met une touche artistique aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.
A l’heure où les motifs géométriques sont une ligne de conduite en matière de décoration il a plus que jamais sa place dans la maison.
Avec ses 1 800 variétés et son caractère résistant, le cactus se glisse dans tous les environnements. A l’intérieur comme à l’extérieur, dans une atmosphère moderne ou plus classique... ses lignes graphiques suivent les mouvements. Pour ceux qui arrondissent les angles, les Échinocactus à la forme sphérique et ornés de beaux aiguillons, le Gymnocalycium façon boule ou les Opuntia avec leurs éléments ovales et plats sont parfaits. Pour ceux qui préfèrent la ligne verticale, le cactus Cereus en colonne s’impose.
Vous l’imaginiez à son aise dans le désert ? Seules quelques variétés peuvent résister à des sécheresses extrêmes. D’ailleurs la plupart des cactus poussent dans des régions où la pluviométrie annuelle est comprise entre 5 et 50 cm. Il est certes très répandu en Amérique Centrale et du sud mais il se plaît aussi en Afrique et s’acclimate aux régions froides comme aux Caraïbes tropicales. Le secret de sa capacité d’adaptation ? Ses épines ! Elles le protègent du froid nocturne et des ardeurs du soleil, lui garantissent un certain niveau de rafraîchissement, absorbent et drainent l’eau de pluie et lui évitent également d’être dévoré par les animaux.
Le cactus est facile à conserver :
Pas la peine d’être aux petits soins pour son cactus, c’est une plante indépendante qui sait prendre soin d’elle.
Si elle apprécie la lumière et les bains de soleil, mieux vaut éviter de lui imposer des baignades à rallonge. L’eau stagnante peut même lui être fatale !
Le cactus est en effet très autonome, il stocke l’eau dans ses feuilles, ses tiges, parfois ses racines et autogère ses besoins. Mieux vaut l’arroser une fois par mois avec parcimonie et aller jusqu’à l’oublier pendant l’hiver !
Durant cette période, dans la terre bien sèche, il pourra même produire des fleurs.
Le seul cadeau à lui faire ? Un peu d’engrais pendant l’été.
Sources ma plante mon bonheur
12 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Si vous avez envie de voir d’impressionnantes cascades et des bananiers, il suffit de vous rendre dans l’ouest de l’Angleterre. En effet, le Projet Eden abrite la plus grande jungle du monde.
L'Eden Project est un complexe environnemental conçu par Tim Smit et dessiné par l'architecte Nicholas Grimshaw sur le thème de la nature et du développement durable. Il est situé à 8 kilomètres de St Austell en Cornouailles, Royaume-Uni. Le site a ouvert au public en mars 2001, après deux années de construction dans une ancienne carrière de kaolin. Il comprend deux serres dont la structure extérieure est constituée d'ETFE (éthylène tétrafluoroéthylène), un matériau plastique transparent très résistant aux différences de pression et de température. Chaque serre abrite un biome, l’un reproduisant les climats tropicaux humides et l’autre les climats chauds et secs de type méditerranéens
Les cinq dômes à structure géodésique abritent un ensemble exceptionnel d’espèces végétales organisées le long d’un parcours paysager.
Les concepteurs d’Eden Project réfutent le qualificatif de parc à thème. Le parc a été initialement créé pour démontrer la capacité d’utiliser la nature pour régénérer un site détérioré par l’activité humaine. Le parc comporte cependant tous les ingrédients du parc à thème : Parcours pré-déterminé, hall d’attractions, bâtiment d’exposition, salles de projection, restaurant et l’incontournable boutique qui clôt la visite en un passage obligé.
Lien vers le site edenproject
11 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Pour faire un bouquet rustique dans la maison, les dahlias sont les fleurs qu’il vous faut. Vous ne les trouverez peut être pas chez votre fleuriste, mais sur les marchés vous aurez un joli bouquet pour quelques euros, ne vous en privez pas.
Ils existent en différentes tailles, formes de fleurs et vous trouverez un très grande choix de couleurs.
Pour bien les conserver chez vous :
Si vous avez la chance d'en avoir dans votre jardin, faites en régulièrement des bouquets. Un pot en grès sera très adapté. Vous pouvez également les mettre en fleur unique dans un petit vase étroit ou encore vous pouvez en couper un gros très court et le mettre dans une assiette pleine d'eau. Cela fait un effet original sur une table .
09 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Des scientifiques américains se sont donnés pour objectif de faire renaître de ses cendres l'orchidée fantôme. Une espèce si rare qu'elle a suscité la convoitise de plusieurs générations de braconniers.
Armé de son pistolet agrafeur, Mike Kane s'enfonce dans les profondeurs d'un marais de Floride pour tenter de donner naissance à l'une des fleurs les plus rares du monde.
Portant plusieurs dizaines de petits carrés de toile de jute minutieusement entrelacés avec des racines vertes, le scientifique s'applique patiemment à replanter ce que beaucoup ont brutalement arraché.
L'apparence presque érotique de cette fleur hors du commun, la pureté de sa blancheur et sa spectaculaire légèreté suscite les passions dans le monde entier.
La rareté de l'orchidée fantôme (Dendrophylax lindenii), ajoute à sa valeur. La floraison n'apparaît qu'une fois par an, généralement à peine plus d'une semaine en juin ou en juillet. Elle pousse encore plus difficilement que les autres espèces d'orchidées et survit rarement en dehors de son habitat naturel.
Il fut un temps où elle foisonnait dans les Everglades, une région marécageuse à la pointe sud de la Floride. Aujourd'hui, les experts n'en comptent pas plus de 2.000 dans l'ensemble de cet Etat américain. Cuba en abrite quelques-unes également, mais c'est tout ce qu'il reste de cette espèce à la surface du globe.
Le braconnage, autant que l'urbanisation et la pollution aux pesticides, sont tenus responsables de sa disparation, estime Mike Kane, professeur d'horticulture environnementale à l'Université de Floride.
"Nous sommes en train de les perdre", s'inquiète le professeur, qui mène un projet inédit pour repeupler les marais d'orchidées.
Avec ses étudiants, il fait pousser les orchidées, sans les cloner, dans son laboratoire au nord de la Floride.
Lorsque les plantes ont pu pousser plusieurs années en laboratoire, ils les transplantent dans un endroit isolé au cœur du parc naturel de Florida Panther, au sud de "l'Etat ensoleillé".
Un lieu particulièrement tranquille abrité par une canopée, où frênes, cyprès et marais offrent un cadre idéal pour la conservation de l'orchidée fantôme.
"Le public ne peut pas venir jusqu'ici et voler les orchidées, il ne peut pas non plus interrompre nos expériences", se félicite Jameson Coopman, étudiant dans le laboratoire de Mike Kane.
Les deux hommes se relayent pour agrafer les petits carrés de toile, en prenant soin de ne pas abîmer les racines, contre des troncs d'arbres pendant qu'un alligator est tranquillement allongé au soleil à quelques mètres de là.Une fois agrafée, la toile se décompose mais les racines de l'orchidée, semblables à des araignées, vont étreindre l'écorce de l'arbre et, avec un peu de chance, s'y installer."
A partir de là, on laisse la plante faire le reste", explique Jameson Coopman.Cette année, ils sont parvenus à en planter 160. L'année d'avant, 80. Kane se souvient avoir tapé dans la main de son étudiant vietnamien Nguyen Hoang, les jambes enfoncées dans le marais, lorsqu'ils ont découvert quelques semaines plus tard que la plupart avait survécu."Elles étaient en pleine forme. C'était incroyable. On était vraiment surpris".Le laboratoire de Mike Kane a connu un autre succès inhabituel lorsque ses botanistes ont réussi à faire fleurir les orchidées fantômes en trois ans.
Lire la suite "En Floride, des scientifiques veulent sauver les orchidées fantômes" »
05 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Inspirée par les spécimens botaniques qu'elle trouve tout en marchant à travers les parcs et jardins pendant ses fréquents voyages, l’artiste tatoueur de Crimée Saro Pis crée des reproduction de plantes élégantes sur les jambes, les bras, ou toute autre partie du corps de ses client(e)s internationaux.
Ses tatouages doux et oniriques sont créés au gré de son humeur et des saisons. Saro regarde attentivement chaque détail fractale dans les pétales et les feuilles et les reproduit sur le corps de ses clients.
Chaque conception est une interaction entre les éléments de l'environnement et de la créativité géométrique de l'imagination de Saro. Le résultat est un nouveau genre de la nature qui ne peut être capturé sur la peau humaine.
Son travail se rapproche de celui de Rita Zolotukhina, tatoueuse ukrainienne qui exerce sous le pseudonyme “Rit Kit“ et que je vous avait présenté ICI au mois de mai dernier.
Pourvoir d’autres images suivez les liens :
02 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Si on ne pouvait couronner qu’une seule fleur comme souverain des fleurs d’été, ce serait le majestueux tournesol.
Outre le fameux tournesol jaune, il existe aussi des variétés en orange, marron, couleur crème et rouge foncé. Au niveau de la forme, il y a également différentes possibilités : il existe des tournesols à grandes ou à petites fleurs, avec une rangée simple de pétales ou à plusieurs couronnes.
Le tournesol symbolise souvent le soleil et l’amour. La mythologie grecque raconte que la nymphe Clytie tomba éperdument amoureuse du dieu du soleil Apollon. Bien que Clytie fut très belle, Apollon ne répondit pas à son amour. Clytie mourut de désespoir, se transforma en tournesol et se tourna sans cesse vers le soleil, afin de pouvoir voir son dieu du soleil. Quelle histoire d’amour dramatique.
Le tournesol est en réalité originaire d’Amérique du Nord et du Sud. Les Indiens mangeaient les graines des fleurs, comme les haricots, le maïs et les courges. Le nom scientifique du tournesol est Helianthus, une contraction des mots grecs Helios (soleil) et Anthos (fleur).
Comme je le répète toujours: ne cueillez pas les tournesols cultivés dans les champs, ils ne tiennent absolument pas dans l'eau, les Hélianthus des fleuristes sont des variétés spéciales crées pour la fleur coupée et la décoration.
01 août 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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31 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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“The Hive” est une oeuvre exceptionnelle. D’une part par son imposante taille et sa beauté, et d’autre part par le fait qu’elle éveille les consciences sur l’importance de préserver les abeilles.
Afin de rappeler l’importance des abeilles dans notre monde, l’artiste Wolfgang Buttress a créé une imposante oeuvre de 17 mètres de hauteur baptisée “The Hive”. Les visiteurs peuvent pénétrer en son intérieur et ainsi découvrir l’atmosphère qui règne au sein d’une ruche.
The Hive (ou “La Ruche” en français) est une imposante et complexe oeuvre d’art constituée de 170 000 pièces d’aluminium, mesurant 17 mètres de haut et pesant 40 tonnes. Créée par l’artiste Wolfgang Buttress, celle-ci est exportée à Londres, et plus précisément au sein des Jardins botaniques royaux de Kew, où elle attire les curieux grâce à l’expérience inédite qu’elle propose : s’immerger complètement au sein d’une ruche et découvrir ainsi l’atmosphère qui y règne.
Pour réussir à recréer cette ambiance, “The Hive” possède des LED et des microphones qui s’illuminent et retransmettent le bourdonnement des 50 000 abeilles habitant dans la structure en fonction des mouvements de ces dernières, donnant ainsi la sensation d’un dialogue incessant. De plus, un dispositif émettant des vibrations semblables aux battements des ailes des abeilles a également été installé. Il faut savoir que ce sont ces mêmes battements qui permettent à ces insectes de communiquer entre eux dans la nature.
Mais plus qu’une démarche artistique immersive, cette œuvre a surtout pour but d’éveiller les consciences sur l’importance de préserver les abeilles pour l’équilibre de notre monde. En effet, celles-ci sont indispensables à l’agriculture puisque ce sont elles qui pollinisent près de 70 % des espèces destinées à nourrir l’humanité. Pourtant, l’usage excessif de pesticides tue ces insectes, provoquant ainsi une véritable et tragique hécatombe au sein de l’espèce… Finalement, “The Hive” permet de plonger le visiteur au cœur d’une ruche d’abeilles, mais aussi au plus profond de cette véritable tragédie environnementale.
28 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le départ pour les vacances approche. Que vont devenir les plantes pendant que vous serez partis ?
Il leur faut de la lumière, ne les laissez surtout pas dans le noir et un peu d’arrosage si vous partez plus d’une semaine.
Vous avez toujours la solution de laisser vos clés à un voisin qui viendra le faire, mais c’est une responsabilité pour lui, il va avoir peur de les laisser se dessécher et il est possible qu’il arrose trop.
Vous pouvez vous équiper de quelques accessoires :
Le plus simple : le cône en céramique qui permet l’irrigation de vos plantes en pot. Comment ça marche ? Il vous faut une bouteille en plastique remplie d’eau et un embout que l’on visse au goulot. Ce dernier desservira l’eau au compte goutte, sur une période de 4 à 28 jours. Vous pouvez ajouter de l’engrais soluble à l’eau, histoire de donner un coup de pouce aux plantes et retrouver une verdure vigoureuse au retour de vacances.
Les grains d’eau : ce gel hydro-rétenteur est composé de cellulose qui se désagrègent au contact de l’air et libèrent de l’eau. Avec une autonomie de 30 jours, c’est une solution adaptée aux longues absences.
Le traditionnel pot à réserve d’eau : adapté aux plantes qui demandent le plus d’humidité, il est doublé d’un fond qui fait office de réserve d’eau. Certains sont dotés d’une réserve permettant de tenir jusqu’à 12 semaines.
Dévoilé au premier trimestre de cette année, le Pot connecté de Parrot est l’ami rêvé des grands voyageurs. Connecté au smartphone, le pot envoie tout simplement une notification selon les besoins de la plante. Son autonomie est de 3 semaines et son réservoir accueille jusqu’à 2,2 litres d’eau. Une pression sur votre écran tactile et votre plante est nourrie même si vous vous trouvez à l’autre bout du monde.
Si vous avez beaucoup de plantes ce kit d’arrosage permet d’alimenter plus de 30 pots ; Il n’a aucunement besoin d’être raccordé au robinet puisqu’il s’alimente par un réservoir. Grâce aux cônes en céramique qui ponctuent le tuyau, il distille l’eau au compte-gouttes et chaque pot a son compte.
Petite astuce avant de partir pour l’aventure, pensez à regrouper tous vos pots au centre d’une pièce, il se créera un micro-climat et l’arrosage n’en sera que plus simplifiée.
26 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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La Berce du Caucase cause de nombreuses brûlures tous les ans. La sève de ce végétal produit une toxine phototoxique (qui réagit avec la lumière), ce qui a provoqué de graves brûlures chez une adolescente âgée de 14 ans originaire des Côtes-d’Armor.
Cette plante ressemble énormément à la carotte sauvage, berce commune qui ne mesure que 2m50 de hauteur. De son nom latin Heracleum mantegazzianum, elle peut atteindre 5 mètres de hauteur tandis que ses feuilles, semblables à celles d’une carotte sauvage, peuvent faire 3 mètres de largeur et sa large tige est caractérisée par des veinules rouge foncé.
Comme le rapporte Le Télégramme, la jeune fille débroussaillait un champ en compagnie de son père samedi dernier. « J’enlevais les plantes à la main et en me servant d’un couteau », raconte l’adolescente. « J’ai ressenti que ça me brûlait dimanche matin et le soir c’était infernal ». Brûlée au deuxième degré, elle doit recevoir quotidiennement la visite d’une infirmière pour soigner son bras et ne pourra pas s’exposer au soleil pendant plusieurs mois.
En avril dernier, un habitant du Morbihan avait été brûlé au troisième degré aux mains et aux avant-bras après avoir arraché une berce du Caucase. L’homme avait dû être hospitalisé au service des grands brûlés.
Je vous avais déjà mis en garde dans cet article en 2008.
25 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le site la joie des fleurs commence une nouvelle série de publications #jefaismonbouquet
Aujourd'hui, la joie des fleurs nous propose de découvrir la création de ce bouquet de saison autour du Glaïeul !
Pour faire ce bouquet, il vous faut :
Un bouquet simple, très nature. Remarquez la façon de recouper les tiges et de bien nettoyer les feuilles du bas. Ces quelques gestes sont essentiels dans la préparation de toutes les fleurs et trop souvent négligés.
Sources : la joie des fleurs
22 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Roses, tulipes, orchidées, lys… A l’initiative de Laetitia Baubouchez, fleuriste aux "Fleurs Damelys" à Nice, les fleuristes de Nice ont fleurit les 2 kilomètres de la Promenade des Anglais à Nice le 18 juillet .
Un geste symbolique pour ces fleuristes qui, dans la douleur, souhaitaient véhiculer des valeurs de solidarité et de générosité.
Bravo à tous les fleuristes participants.
Sources : aux fleurs d’Amelys et Jean-marc Creutzer
20 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Appelée couramment « lis des Incas », l’alstroemeria est devenue en quelques décennies l’une des fleurs les plus vendues. Rien de plus normal : avec ses fleurs à motifs et ses couleurs éclatantes, ses allures de papillon et son impressionnante tenue en vase, difficile de lui résister.
Disponible tout au long de l’année et d’une excellente tenue en vase, il a rapidement su conquérir le cœur des fleuristes ! Blanc, rose, rouge, violet, orange, saumon, crème, fuchsia… les nombreuses variétés disponibles aujourd’hui permettent toutes les fantaisies ! Elle se suffit à elle-même mais sait aussi accompagner d’autres fleurs dans la réalisation de bouquets variés.
Comme son nom l’indique, le lis des Incas nous vient d’Amérique du Sud, notamment du Brésil, du Pérou et du Chili. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que le naturaliste suédois Clas Alströmer (1736-1794) introduisit la plante en Europe. Le nom « alstroemeria » lui fut attribué par Carl von Linné (1707-1778), en hommage à Alströmer qui pour lui parcourut le monde à la recherche de plantes que Linné classait et nommait.
L’alstroemeria a une tenue exceptionnelle en vase, de l’ordre de deux à trois semaines !
Voici les quelques règles d’entretien à respecter pour voir les fleurs durer un maximum
18 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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15 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Si vous n'êtes pas encore en vacances ou en week-end, je vous offre cette promenade sur le plateau de Valensole dans les champs de lavandes.
A la sortie du Verdon se trouve le plateau de Valensole de près de 12.700 hectares baigné de lumière près de 300 jours par an, de fin juin jusqu’à mi juillet les champs de lavande morcellent les champs de céréales. Autrefois couvert exclusivement d'amandier, désormais la diversité des cultures apporte à ceux qui savent s'émerveiller un terrain de découverte de tous les sens.
Les principaux villages qui entourent le plateau sont Moustiers Ste Marie, Puimoisson, Saint-Jurs ,Valensole et Riez.
Amandiers, chênes truffiers, champs de céréales ,de tournesols, de sauges sclarées et de lavandins sont les principales cultures du plateau, sans oublier la production du célèbre et délicieux miel de lavande.
Je me répète, mais si vous passez dans ces magnifiques champs, ne cueillez pas votre bouquet, vous en trouverez sur les marchés ou dans de nombreuses boutiques. Si les milliers de touristes qui s'arrêtent cueillent tous un bouquet, cela fait tout de même une énorme quantité en moins pour les cultivateurs qui vivent de cette culture. Respectez leur travail !
Vidéo réalisée ( en couleurs naturelles non saturées) par la chambre d'hôtes : http://a-la-meridienne.e-monsite.com/
15 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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14 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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J'ai trouvé ces images sur la page Interflora CO-UK avec ce texte : »Les Tournesols sont héliotropiques ! Cela signifie qu'ils tournent lentement tout au long de la journée pour faire face au soleil de l'est à l'ouest » et bien NON ! c'est faux !
C''est très bien fait, mais attention regardez bien, c'est une animation en 3D et non une vidéo.
Tout d'abord, comme la plupart des plantes, le tournesol pousse en direction de la lumière (c'est le phototropisme). Les jeunes tournesols ayant une croissance très rapide, leur tête peut être orientée dans une direction le matin (vers l'Est) puis dans une autre à midi (vers le Sud), pouvant donner l'impression, à certaines périodes, que la tête du tournesol suit le soleil. Cela provient en fait des différences de vitesse de croissance de la tige d'un côté par rapport à l'autre. Ce processus est dû notamment à une hormone végétale appelée auxine qui est distribuée dans la tige en fonction de la direction de la lumière et qui agit sur l'élongation des cellules.
D'autre part, les feuilles du tournesol sont, elles, capables de s'orienter en fonction de la direction du soleil tout au long de la journée. C'est ce que l'on appelle l'héliotropisme. Attention, cette propriété des feuilles du tournesol s'arrête dès la floraison.
J'ai repris une note de 2013 ou j'expliquais déjà ce phénomène. Je suis désolé, mais ce n'est qu'une impression visuelle. D'ailleurs, prenez n'importe quelle fleur et essayez de la faire tourner en maintenant la tige immobile ....
12 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le Glaïeul ou Gladiolus est vraiment passé de mode, on en retrouve un petit peu dans de jolis coloris plus tendances, vert, jaune ou panaché. C'est pourtant une fleur d'été qui tient longtemps en vase, mais c'est une fleur sans grâce car elle est très raide.
Malgré tout on peu faire de très imposant vases, mais il faut en mettre beaucoup et qu'ils restent bien parallèles. J'ai trop de souvenirs avec 5 ou 7 glaïeuls dans un vase en verre …..
Le glaïeul appartient à la famille des Iridacées et il est originaire d'Afrique, d' Australe, de l'ouest de l'Asie et du bassin méditerranéen.
C'est une grande fleur que vous conserverez très longtemps chez vous en suivant ces quelques conseils :
images : Office Hollandais des Fleurs
11 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le Lisinthus ou Eustoma grandiflorum en latin, également surnommé "Gentiane des prairies", appartient à la famille des Gentianacées.
Fleur sauvage Nord Américaine (Texas, Nebraska, Nevada et Colorado), c'est au Japon que le Lisianthus est véritablement né pour la fleur coupée et introduit en Europe au début des années 80, aux Pays-Bas.
La production de Lisianthus à fleur simple a disparu dans le Var au profit du Lisianthus à fleur double, qui est un créneau de produit haut de gamme. Le Lisianthus est une fleur d’été résistante aux fortes températures, ce qui en fait une fleur très présente chez les fleuristes pendant l'été.
Quelques conseils pour bien les conserver chez vous:
Sources informations et images HORTISUD de SICA MAF marché de gros de Hyères
07 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Jeff Leatham, le directeur artistique de l'Hôtel George V, Paris va maintenant gérer également la conception au Four Seasons Hôtel Los Angeles.
Il rentre chez lui à Four Seasons Hôtel Los Angeles à Beverly Hills , où sa carrière a commencé. Ses installations florales seront présentés dans le hall de Four Seasons Hôtel Los Angeles, avec sa toute première boutique florale dans la propriété.
"Ceci est un retour aux sources pour moi» , dit Leatham. " Four Seasons Hôtel Los Angeles à Beverly Hills est l' endroit où j' ai commencé mon voyage incroyable avec les fleurs qui ont transformé ma vie. Dans le même temps, le George V est devenu ma deuxième maison pendant 16 ans, de sorte que le partage de ces deux propriétés étonnantes me donne le meilleur des deux mondes. Je suis incroyablement heureux de lancer mon premier atelier floral, ce qui me permettra d'offrir des créations plus florales personnalisées à la célèbre clientèle. "
En 2014, le gouvernement français a accordé Leatham avec un de leurs titres les plus distingués: Chevalier dans l'Ordre des Arts et Lettres, pour sa contribution exceptionnelle à la culture de Paris. Il a été acclamé dans le monde entier pour ses manifestations artistiques, y compris une installation historique au château de Versailles et il a collaboré avec avec les meilleurs maisons de design. GRandes, mais simples, avec une touche unique sur la forme et la couleur, ses créations florales ont gagné le cœur des invités, des célébrités, des critiques et même de la royauté. Il est également l'auteur de trois best-sellers, Fleurs par Jeff Leatham, Flowers by Design, et Jeff Leatham: Visionary Floral Artiste et Design.
Sources : http://press.fourseasons.com/losangeles/hotel-news/2016/jeff-leatham-at-four-seasons-los-angeles/
06 juillet 2016 | Lien permanent | Commentaires (0)
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