Le pouvoir des fleurs

Les Poinsettias reviennent !

La Toussaint vient juste de passer et déjà les Fleuristes nous proposent des Poinsettias également appelés Étoile de Noël, ils annoncent la préparation des fêtes de fin d'année.

Ce qui fait la beauté de ces plantes ce sont bien sûr ses bractées colorées. Elles sont d’un rouge clair, rose saumon ou blanc crème et entourent un cœur de petits boutons de fleurs jaunes. 

Le Poinsettia doit son nom à l’ambassadeur américain au Mexique, Joel Poinsett, qui introduisit cette plante aux États-Unis au début du XIXe siècle. Aux États-Unis, l’anniversaire de la mort de Joel Poinsett, le 12 décembre, a été déclaré Poinsettia Day. Les membres de la famille, les amis, les voisins et les collègues s’offrent un Poinsettia ce jour-là.
Dans la nature, au Mexique et en Amérique Centrale, cette plante a l’apparence d’un buisson pouvant atteindre jusqu’à quatre mètres de haut. Elle y fleurit à l’extérieur de novembre à février et perd ses feuilles en été.

  

Le nom de la variété « pulcherrima » du Poinsettia, vient du latin et signifie « la plus belle ». Le botaniste allemand Willdenow lui donna
 ce nom scientifique pour sa belle couleur.
Conseils :

• Cette plante n’apprécie ni les courants d’air ni les endroits très chauds comme la proximité du chauffage ou de la cheminée
• Le feuillage du Poinsettia jaunit et tombe ? Il suffit de le placer dans un endroit plus frais et plus clair tout en augmentant l’humidité de l’air.
• Le Poinsettia est assez frileux. Après l’avoir acheté, il faut bien le protéger pendant le trajet jusqu’à la maison car celui-ci est très sensible aux chocs thermiques.
• Lui accorder une place lumineuse de choix et sans soleil direct.
• Il apprécie un arrosage régulier, surtout quand il fleurit. Tous les 15 jours celui-ci ne refusera pas un petit extra sous forme d’engrais.
• Si une tige de la plante se casse et que la peau entre en contact avec un peu de suc végétal, il est préférable de bien se rincer. Cautérisez le bas de la tige et mettez la dans l'eau, elle tiendra plusieurs jours en changeant régulièrement l'eau.

Source texte et images : "à chaque mois sa plante" édité par ma plante mon bonheur 

Le choix des plantes pour la Toussaint

La Toussaint est toute proche et les plantes ont quittées les zones de production pour arriver chez votre fleuriste.

  

Vous aurez le choix entre les plantes de Chrysanthème à petites fleurs ou les minis que vous trouverez seuls ou en coupes, des cyclamens et tout un choix de coupes ou de compositions crées spécialement par les fleuristes suivant les traditions régionales comme cet arrangement appelé « Forestier » dans le Nord Est.

  

  

Vous pouvez également choisir une composition plus moderne ou un bouquet ou encore un arrangement plus moderne comme en proposent certains fleuristes. Chaque région de France a ses spécialités et traditions qui correspondent bien souvent au climat . On ne met pas les mêmes plantes dans le Sud que dans le Nord .

Nemo Garden : Une idée révolutionnaire pour l’agriculture de demain ?

Porté par la société Italienne Ocean Reef Group, le projet Nemo Garden est un dispositif permettant de faire pousser des plantes sous l’eau. Une alternative à l’agriculture traditionnelle pour répondre aux difficultés liées au manque de terres exploitables, au variation du climat, au manque d’eau …

Ces biosphères sous-marines ont été testé au large de l’Italie, des sortes de bulles d’air situées dans les fonds marins dans laquelle on peut placer des légumes, des plantes aromatiques …

 

Une solution présentée comme respectueuse de l’environnement pour l’agriculture de demain, qui favorise des conditions de cultures végétales optimales : forte humidité, effet de serre, bonne luminosité … Un projet novateur qui a été en partie financé au travers d’une plate-forme de growdfunding, et qui doit maintenant être peaufinée et optimisée pour offrir une solution viable à long terme.

Les jardins de Nemo, idée révolutionnaire ou farfelue ? une histoire à suivre !

Tous les détails de ce projet sont sur le site : nemosgarden.com

Les cyclamens, une spécialité bien Française

C'est le retour des cyclamens dans les boutiques des Fleuristes. Savez que le grand spécialiste européen du Cyclamen est français ? C'est L'entreprise MOREL DIFFUSION

Les quatre frères associés Jean-Charles, Guy, Paul-Henri et Olivier MOREL sont issus d'une famille d'horticulteurs depuis 1919 et sont la troisième génération travaillant le cyclamen.
Pierre MOREL (1919 à 1948) à Châtillon sur Chalaronne  (ma région natale)
Charles MOREL (1928 à 1975) à Golfe-Juan (06) - Sud-Est Côte d'Azur
Jean-Charles, Guy, Paul-Henri et Olivier MOREL (depuis 1970) à Fréjus (83) - Sud-Est Côte d'Azur
En 2013, Jean-Charles MOREL prend sa retraite. La société continue avec Guy, Paul-Henri et Olivier.
La famille MOREL s'est spécialisée dans la sélection et la culture du cyclamen depuis plus de 90 ans dans le Sud de la France. Cette sélection a un caractère unique quant à sa résistance à la chaleur.
Jusqu'en 1975, Charles MOREL avait développé une sélection traditionnelle.
Puis Guy MOREL (ingénieur ENITH) a mis au point les méthodes de sélection modernes pour obtenir des hybrides F1 (pour chaque variété 8 à 10 ans de travail sont nécessaires pour sélectionner et mettre en production).

  

Les premiers hybrides F1 Ch.Morel ont été mis en marché en 1989 et connaissent aujourd'hui une renommée mondiale.
MOREL Diffusion est dotée d'un établissement de recherche performant de 3 ha de serres. Sa filiale SCEA de MONTOUREY produit les graines hybrides F1 de ses obtentions. Afin d’avoir un contrôle total de la qualité, toute la recherche, la production et la récolte sont faites à Fréjus.

Son savoir-faire se retrouve dans les différents métiers maîtrisés dans la Société :

• Recherche, sélection et hybridation
• production des graines (récolte, stockage et ensachage)
• semis et production de jeunes plants
• essais comportementaux des nouvelles obtentions
• distribution, conseils techniques et suivi des clients dans plus de 40 pays

C'est une plante traditionnelle, mais avec les nouveaux coloris proposés elle est revenue un peu à la mode . J'aime bien cette plante qui me rappelle beaucoup de souvenirs...

Images et texte du site cyclamen.com ou vous trouverez images, vidéos et de nombreux conseils pour garder longtemps les cyclamens.

Les bégonias d'appartement

"ma plante mon bonheur" a choisi le bégonia pour ce mois d'octobre.

Qu'il possède des fleurs gaies ou des feuilles robustes à jolis motifs, le Bégonia et le Bégonia Rex sont de magnifiques compagnes de saison.
La version fleurie se pare de petites fleurs rouge, rose, orange, blanc, jaune, voire de plusieurs couleurs, tandis que le Bégonia Rex exhibe ses feuilles veloutées. Ce dernier n'a donc pas de fleurs, mais compense largement avec les motifs enchanteurs de son feuillage. Celui-ci peut revêtir des tonalités argentées ou roses, rouges bordeaux ou de différents vert, selon la lumière et la variété.

  

Le Bégonia est originaire des régions chaudes, humides et boisées de Nouvelle- Guinée, du sud de l'Afrique et des Andes.Ils doivent leur nom à Michel Bégon, un botaniste et diplomate français du XVIIe siècle.

Il n'est pas difficile de s'occuper d'un Bégonia. Cette plante d'intérieur demande beaucoup de lumière, mais ne supporte pas le plein soleil. En l'arrosant deux fois par semaine, on maintient le terreau humide. Il est d'ailleurs plus facile de placer une soucoupe sous le pot, dans laquelle est versée l'eau. Pour en profiter longtemps, il suffit de lui enlever les petites fleurs fanées, lui donner de l'engrais une fois par semaine et le placer à une température ambiante d'environ 18°.

Soins pour le conserver longtemps :

• Le Bégonia n'aime ni les courants d'air ni les changements de température trop radicaux.
• Le Bégonia fleuri peut avoir des fleurs simples ou des fleurs doubles.
• Le Bégonia Rex peut développer de grandes feuilles, il a donc besoin d'un grand pot.
• Les feuilles du Bégonia se ratatinent ? C'est qu'il fait trop chaud pour lui.

Sources textes et images : maplantemonbonheur.fr

Les Amaryllis sans eau de Greencre8

En janvier 2014 j'avais testé les Amaryllis sans eau de la Sté hollandaise Greencre8 . Cette Sté commercialise différentes plantes teintées ou floquées, ce ne sont pas vraiment mes préférences. Par contre, ils ont mis au point une technique très intéressante pour les bulbes d'Amaryllis  qu'ils vendent sous le nom de « No Water FLOWERS® » ( fleur sans eau) .

Ce sont des bulbes d'Amaryllis recouverts de cire et décorés de différents motifs munis d'un petit dispositifs pour qu'il tienne en équilibre même en pleine floraison.

Un peu septique, je l'ai testé l'année dernière et j'ai été vraiment surpris : pendant 28 jours, sans aucune goutte d'eau j'ai profité de 2 magnifiques hampes florales.
En décembre je vais essayer d'en trouver dans ma région pour avoir ces belles fleurs pour les fêtes.
C'est vraiment une belle idée que je vous recommande .

 

Lien vers ma page de test en images : test amaryllis sans eau 
Lien vers : le site internet de la Sté Greencre8 

Le cèdre bleu pleureur de l’Atlas, élu plus bel arbre 2015

L'Arbre de l'année est une opération créée en 2011 par Terre sauvage et l'ONF.

L'objectif est de valoriser les arbres remarquables du patrimoine français en proposant à tout individu ou groupe (famille, classe, école commune, entreprise, association…), de porter la candidature d'un arbre pour qu'il devienne "l'Arbre de l'année".

Le « PRIX DU JURY » a été décerné au Cèdre bleu pleureur de l’Atlas de Chatenay-Malabry (Hauts-de-Seine)

Niché au cœur de l’Arboretum de la Vallée-aux-Loups, à proximité de la demeure de Châteaubriant en zone urbanisée, l’ancêtre de tous les cèdres pleureurs trône majestueusement.

Il y a 150 ans, un pépiniériste planta un cèdre bleu de l'Atlas (Cedrus atlantica 'Glauca'). Mais une mutation apparut donnant un caractère pleureur à cet arbre. C'est donc le premier individu de la variété qui est encore visible à l'arboretum et qui fut, bien sûr, exploité par la suite par ce pépiniériste. Les autres spécimens
présents dans le monde sont tous issus de boutures ou de greffes réalisées à partir de cet exemplaire unique.

Au fil des ans, ce cèdre bleu pleureur est devenu magnifique, étalant ses immenses branches tortueuses en tous sens, avec son feuillage bleuté en pendeloques.
Spectaculaire quand on le contemple de loin dans le parc, le cèdre bleu pleureur est encore plus surprenant et imposant quand on se glisse sous son feuillage il offre une protection à ses visiteurs sur 700 m² .

C’est le Fromager de Saül (Guyane) qui a remporté le « PRIX DU PUBLIC ».

Ce grand fromager, situé dans le petit bourg de Saül, a de mémoire de Saulien, toujours été présent. Majestueux, ses plus hautes branches dominent, tel un parasol, la canopée à plus de 60 m de
haut. Arborant des fleurs blanches groupées à l’extrémité des branches, ses fruits en forme de longues capsules oblongues renferment de nombreuses petites graines noires entourées d'un
duvet blanc rappelant le coton. Il abrite de nombreuses plantes épiphytes, amphibiens, rapaces, grands singes et constitue un élément paysager structurant du bourg de Saül et la porte d’entrée
du Parc national amazonien de Guyane.

Sources :   arbre de l'année 2015 

4 plantes très dangereuses présentent en France.

Ces plantes que vous rencontrez dans la campagne ou que vous possédez dans votre jardin peuvent être très dangereuse si vous consommer leur feuille, leur baie ou si vous les touchez.

Une plante très urticante présente le long des chemins humides, la berce du Caucase (ou Heracleum mantegazzianum). Elle peut mesurer entre 2 et 5 mètres de haut. Sa sève contient des toxines qui, activées par la lumière, provoque des inflammations et brûlures de la peau. Les cloques peuvent même atteindre la taille d'une pomme de terre !

Une très jolie fleur que j'ai souvent rencontrer sur les sentiers des Alpes: l' Aconit. Sa racine est très toxique. L’Aconitum napellus, aussi appelée la reine des poisons, serait la plus dangereuse : ingérer 1 à 3 grammes de sa racine pourrait entraîner la mort dans l'heure qui suit.

La Belladone (Atropa belladonna), aussi appelée Belle Dame, Bouton-noir ou Cerise du diable, peut se révéler très toxique : ses baies noires contiennent de l'atropine, substance agissant sur le système nerveux et paralysant les voies respiratoires (ce qui peut entraîner la mort de l'individu). Elle était jadis associée à la magie noire. Bien dosée, la belladonne peut toutefois servir de calmant et d'antidouleur.

Vous connaissez tous le laurier-rose (Nerium oleander). Cet arbuste présent dans nos jardins, est toxique puisqu’il recèle des molécules appelées hétérosides cardiotoniques, capables de ralentir le rythme cardiaque et de diminuer la résistance artérielle. L'ingestion d'une seule feuille peut être mortelle.

Sans oublier les fruits du muguet ou de l'arum sauvage . Il ne faut pas paniquer et arracher ces jolies plantes de vos jardins, même un enfant n'est pas vraiment attiré pour manger une feuille de Laurier rose ! Toutefois vous pouvez consulter cette page que j'ai consacrée aux plantes toxiques .

Sources: sur une idée de http://www.sciencesetavenir.fr/ "Les 7 plantes les plus dangereuses du monde"

Piments, Physalis ou bruyères ces jolies plantes d'automne

La température a baissé, les jours sont plus courts, les plantes d'automne sont arrivées chez votre fleuriste .
Piments et poivrons décoratifs, Physalis et bruyères automnales.

Les piments ou poivrons décoratifs sont des petites plantes que vous trouvez pour une somme modique . Ils appartiennent à la Famille des Solanacées et sont originaires d’Amérique tropicale. Il s’agit simplement d’une variété que l’on cultive pour ses coloris vifs et variés. Les tons sont différents selon les variétés : rouge, jaune, vert, crème, rose et même violet.
Ce sont des plantes annuelles comme les tomates ou les aubergines ! N'espérez pas la garder plus d'un mois. Il lui faut du soleil en début ou fin de journée, sinon la plante perd ses feuilles prématurément. Les fruits dureront plus longtemps si la plante est dans un endroit plutôt frais, ce qui n’est pas toujours facile à conjuguer avec l’ensoleillement. On arrose abondamment sans laisser d’eau dans la soucoupe. Les engrais sont inutiles puisque les fruits sont déjà formés lorsque l’on se procure habituellement cette plante. Dès que les fruits tomberont la plante va mourir. ATTENTION: Ces fruits ne sont pas comestibles, ils sont destinés à la décoration.

Maintenant vous pouvez trouver les Physalis en pot, c'est une plante qui va très bien sur un balcon, une terrasse ou même dans le jardin .
Dans une jardinière ou une coupe, il sera très bien avec un chrysanthème jaune, une bruyère blanche et une plante de graminée. Vous pourrez replanter tout cela dans votre jardin, vous aurez des physalis tous les sans soins particuliers Si le Physalis se plaît vous serez vite envahi .

Les bruyères (Calluna vulgaris Hull.) font parties de la Famille des Ericacées. Le nom de Calluna vient du grec "kalluno" qui signifie "balayer" en allusion à l'emploi de ses branches comme balai.
C'est une plante d'extérieur uniquement que vous rencontrez dans certains sous-bois ou certaines landes.
Elles demandent beaucoup d'eau, s'il ne pleut pas régulièrement , pensez à les arroser, avec un peu d'eau de temps en temps elles décoreront votre balcon tout l'hiver. Elles existent dans différentes teintes de rose et en blanc. Évitez les plantes bleues ou rouges qui sont tout simplement trempées dans la peinture..... 

Les plantes carnivores, plante du mois par "ma plante mon bonheur"

Ma plante mon bonheur nous présente au mois de septembre les Plantes Carnivores existent réellement ! Avec leur apparence excentrique et haute en couleur, elles capturent des insectes et petites araignées pour les digérer ensuite. Incroyable mais vrai !

 

Les Plantes Carnivores existent dans de multiples variétés dont les plus connues sont Dionaea muscipula, Sarracenia, Drosera et Nepenthes. Des noms exotiques pour des plantes excentriques qui attirent les insectes avec leur parfum et leurs couleurs, les capturent et les digèrent.

A chacune sa technique de capture ! La Dionaea, ou Dionée attrape-mouche est doté de feuilles diaboliques qui se referment avec une rapidité fulgurante tandis que le Drosera englue sa proie sur ses feuilles pourvues de tentacules. Une autre tactique ingénieuse : les feuilles du Sarracenia ont une forme de cône, pourvue de couvercle, pour y capturer les insectes. Le Nepenthes piège également ses victimes grâce à ses urnes situées à l’extrémité des feuilles.

    

Dans la nature, les Plantes Carnivores se trouvent dans les régions avec un sol pauvre en azote, comme les marécages. Elles existent dans le monde entier, mais il n’est
pas facile de les rencontrer car elles sont devenues assez rares.

 

Comment bien conserver chez vous :

• La majorité des Plantes Carnivores aime le plein soleil et l’humidité.
• En phase de croissance, il ne faut donc pas hésiter
à les placer dans une grande coupe avec un terreau acide et quelques centimètres d’eau.
• Elles préfèrent par dessus tout
 l’eau de pluie mais aiment également l’eau distillée ou l’eau du robinet pauvre en calcaire.
• L’eau dure est déconseillée à cause
de l’accumulation de sels dans la terre qui risquent de pourrir
 les racines.
• Ces plantes n’ont pas besoin d’engrais puisqu’elles attrapent toute seule leur nourriture.
• Il est par contre préférable d’enlever feuilles et urnes brunes et mortes, celles-ci étant propices au développement de moisissures.
• Les Plantes Carnivores ne mordent pas.
• Les Plantes Carnivores se rempotent chaque année, ou une fois tous les deux ans, de préférence au printemps, dans de la tourbe grossière.
• Amusant au premier abord, le fait d’utiliser
son doigt pour refermer dessus le piège de la plante carnivore, lui coûte beaucoup d’énergie sans avoir de repas en retour. Un piège peut se refermer et se rouvrir environ six fois avant de mourir. A éviter absolument !
• S’il est possible de nourrir sa Plante Carnivore avec des insectes vivants, il ne faut surtout pas lui donner de la viande au risque que le piège ne pourrisse.
• Les feuilles piégées de la Dionaea, ou Dionée attrape-mouche, se referment lentement ? Il faut l’exposer à plus de lumière du soleil.
• L’hiver est une saison où les insectes se font rares. C’est la période à laquelle les pièges des Plantes Carnivores se dessèchent. La plante en fera de nouveaux au printemps, prêts à l’action.
• Les carnivores de petite taille sont souvent proposées en tant que « plantes à collectionner » pour les enfants. Les grands formats de ces plantes constituent un élément plus que spectaculaire dans un intérieur moderne ou naturel.

Avez-vous lu qu'une de des plantes est capable de tuer les frelons asiatiques ? c'est ICI

Sources : maplantemonbonheur.fr

Journée internationale de l'Orchidée à Paris

Je vous l'avais signalé la semaine dernière, aujourd'hui c'est la journée internationale de l'Orchidée organisée Orchid infos, communauté hollandaise de producteurs d’orchidées en pot. A Paris, ils vous invitent à découvrir l’orchidée sous un autre jour ! 

Symbolisant la féminité et l’élégance, l’orchidée est devenue la muse incontournable de tous les intérieurs !
Avec plus de 25 000 variétés déclinées dans une multitude de couleurs, elle s’adapte à tous et s’est fait une place de choix sur la scène de l’Art de vivre et du design.
A Paris le temps d’une journée, partez à la découverte de 3 lieux totalement redécorés avec plus de 500 orchidées par l’architecte et designer Patrick Nadeau, spécialiste du design végétal.

De 10h30 à 18h30, l’orchidée sera mise à l’honneur dans plusieurs lieux du Marais, où des experts la présenteront sous des angles différents :

• Nicolas Cloutier, propriétaire de la Boutique Nose, spécialisée dans la parfumerie, présentera les fragrances de l’orchidée.
• L’entreprise Nananère, spécialiste de la décoration de pâtisserie, proposera des gâteaux et cupcakes sur le thème de l’orchidée au Restaurant Le Taxi Jaune,
• Le photographe et passionné d’orchidées Thomas Balay exposera son travail à la Boutique Faguo.

Pour l’occasion, 200 orchidées seront offertes aux visiteurs de ces 3 lieux !

Lien : orchidsinfo.eu 

Sources Pariscotejardin.fr

Nantes : la plante tueuse du frelon asiatique découverte au jardin des plantes

A Nantes, un botaniste a déniché une plante carnivore mortelle pour les frelons asiatiques. Cette plante appelée sarracénie est originaire d'Amérique du nord. Elle devrait aider les scientifiques à élaborer une stratégie radicale contre ces insectes.

Les sarracénies ne sont pas très communes dans nos contrées. On les trouve dans les arboretums et autres lieux dédiés à la botanique. C’est une espèce de plantes carnivores assez agréables à l’œil, avec leur long cou et leur forme en urne oblongue. Or Christian Besson, jardinier botaniste au Jardin des Plantes de Nantes a constaté que ces sarracénies attirent, piègent et digèrent ces frelons et les mouches, mais pas les autres espèces de frelons, ni les abeilles, ni les guêpes. Il décide alors de pousser plus en avant ses recherches et découvre en effet que le nectar et les phéromones sécrétés par ces plantes carnivores et exposés aux insectes au niveau de leur urne béante attirent irrésistiblement les frelons asiatiques, laissant indifférents les insectes locaux. L’insecte ainsi attiré va se diriger plus vers le fond de la plante, tomber dans l’urne et y rester piégé jusqu’à y être digéré.

  

Une sarracénie ici avec une guêpe commune et un frelon asiatique. et l'intérieur d'un tube

Il a été calculé qu’une seule sarracénie pouvait, à son rythme, supprimer jusqu’à 50 frelons nuisibles, ce qui représente une menace bien infime pour cette espèce ayant envahi près de 70% de notre territoire avec des centaines de millions d’individus. Aussi faut-il sans doute tenter de trouver une solution différente mais directement inspirée par ces plantes carnivores. Pourquoi ne pas tenter, par génie botanique et chimique, de déterminer la composition spécifique de ce nectar et de ces phéromones pour les synthétiser et créer à grande échelle des pièges chimiques sélectifs pour les frelons nuisibles ? Les scientifiques y travaillent en tout cas.

Comme quoi, la solution se trouvait peut-être encore une fois dans la nature même, une plante d' Amérique qui mange les frelons d'Asie et tout cela à Nantes !

 

Explivations dans cette vidéo de France3pays de Loire 

Sources : site France3 pays de Loire 

Puya de raymondi, une plante indigène du Pérou.

C'est une Broméliacée, elle vit jusqu'à 100 ans, peut atteindre 12 mètre et meurt après avoir fleurit :  Puya Raymondi.

À 3800 mètres au-dessus du niveau de la mer se développe l'une des plus étonnantes plantes du Pérou , il s'agit de la Puya de Raimondi (titanca ou saint homme). C'est devenu l'une des plantes les plus rares au monde.

• Elle peut mesurer jusqu'à 12 mètres de hauteur,
• ses feuilles, qui sont très dures et épineuses atteignent une longueur de deux mètres.
• Son tronc à la base fait entre 50 et 60 cm de diamètre.
• Elle pousse dans 26 lieux de la cordillère des Andes, 25 sont situés dans le Pérou et le dernier en Bolivie.
• Elle peut vivre entre 40 et 100 ans.
• Au Pérou, sa floraison se produit en mai et la plante se couvre de plus de dix mille fleurs blanches et de millions de semences.
• Après avoir fleuri (pour se reproduire), elle sèche et meurt.

Si vous voulez en voir plus vous avez une jolie vidéo ICI sur Youtube .

Sources ; viveroscar  

Jeudi 3 septembre, journée internationale de l'Orchidée .

Chaque année, le premier jeudi de Septembre, l'orchidée est à l'honneur lors de la Journée internationale de l'Orchidée. Cette année, pour la première fois à Amsterdam, Cologne, Londres et Paris sera mis en place "la route des Orchidées" .

Je n'ai pas encore le détail de l'organisation à Paris, mais à Amsterdam des animations auront lieu dans 9 rues de la ville. Tout le monde est attendu gratuitement à quatre endroits différents à distance de marche les uns des autres pour admirer une sélection des plus de 25.000 espèces d'orchidées dans de nombreuses formes et de couleurs. On peut aussi participer au programme avec des activités . Les premiers visiteurs recevront une orchidée .

Je pense avoir plus de détails en début de semaine prochaine.....

Sources : Orchidsinfo 

Une Ancolie qui tue pour nourrir ses gardes du corps !

Souvent les plantes engagent des gardes du corps pour les protéger contre les agresseurs, qu'ils soient grands herbivores ou petites larves. Un des exemples les plus connus et spectaculaires est celui de cet acacia africain qui héberge et nourrit de sa sève des fourmis, lesquelles défendent l'arbre... contre les éléphants qui veulent en manger les feuilles. Leurs morsures étant particulièrement douloureuses, même pour un pachyderme, les insectes jouent avec efficacité leur rôle protecteur pour leur plante nourricière. Mais les végétaux qui ne sécrètent rien de comestible ont-ils les moyens de se payer une protection ? Une surprenante étude américaine, à paraître dans la revue Ecology et dont j'ai découvert l'existence grâce au blog "Inkfish" d'Elizabeth Preston, montre que oui...

Aquilegia eximia - Serpentine Columbine © 2009 Terry Dye via calphotos.berkeley.edu

Ses auteurs se sont intéressés à une Ancolie, Aquilegia eximia, poussant sur la côte nord de la Californie. Celle-ci présentait trois particularités :

• Premier élément : l'agresseur. Cette Ancolie a un ennemi, la chenille du papillon de nuit Heliothis phloxiphaga, qui a pour habitude de dévorer les structures reproductrices – boutons, fleurs, fruits – de plusieurs espèces de plantes.
• Deuxième élément : les protecteurs. On note souvent, sur ce végétal, la présence de plusieurs arthropodes chasseurs ou charognards, comme une araignée-crabe ou la punaise tueuse Pselliopus spinicollis qui ne crache pas sur les œufs de papillon...
• Troisième élément (potentiel, celui-là) : la récompense pour les gardes du corps. Les chercheurs ont ainsi remarqué que l'ancolie en question produisait une sorte de liquide visqueux capables de piéger, d'engluer, des insectes arrivés là en "touristes", pour reprendre l'expression utilisée dans l'étude. A partir du mois de juin, une seule tige de fleur peut être recouverte de plusieurs centaines de cadavres de petits arthropodes. Se pouvait-il, se sont interrogés les auteurs de l'étude, que la plante attire et tue les "touristes" afin de les offrir en pâture aux bestioles capables de la défendre ? 

  
  Chenille du papillon de nuit Heliothis phloxiphaga et un Hoplinus nymphe (probablement le prédateur le plus important dans le système) se rapproche d'une mouche piégé.

Pour le déterminer, ces scientifiques ont mené l'expérience sur le terrain. En juillet 2014, ils ont marqué 50 pieds d'Aquilegia eximia. Pour la moitié… la suite ICI sur le blog passeur de sciences

Auteur : Pierre Barthélémy 

Bonne fête

^{C'est aujourd'hui le 15 août}

La Dicentra spectabilis est de la famille des Papavéracées,elle existe en blanc ou en rose et la forme très particulière de ses fleurs lui a donné son nom commun : Coeur de Marie ou encore Cœur de Jeannette.

La pollinisation : un service écologique gratuit

La pollinisation est au cœur de la nature et de ses processus de reproduction. Si vous voulez en savoir plus sur la pollinisation, découvrez ce dossier très complet réalisé par Patrick Straub sur le site futura-sciences de juin 2015 : L’incroyable parcours du pollen, depuis l'organe mâle jusqu’à l'organe femelle d'une fleur. Une manière de mieux comprendre le rôle essentiel des abeilles et de nombreux autres pollinisateurs dans l'équilibre des écosystèmes.

Sommaire :
Page 1/10 - La pollinisation : un service écologique gratuit
La pollinisation est un élément clé de la reproduction chez certains végétaux. Cet étonnant processus permet le transport d’un grain de pollen depuis l'organe mâle d'une fleur, appelé étamine, jusqu’à l'organe femelle (le pistil). Un service écologique gratuit assuré par divers agents écologiques, notamment les abeilles.

Page 2/10 - Pollinisation : les différents acteurs et processus
Les acteurs de la pollinisation sont variés. Si les insectes, et notamment les abeilles, sont les plus grands acteurs de ce processus, il existe d'autres formes de pollinisation, par le vent ou l'eau, par exemple. Découvrons les protagonistes.

Page 3/10 - La zoogamie : la pollinisation par les animaux
La zoogamie est le processus de pollinisation adopté par les plantes qui utilisent les animaux pour assurer leur reproduction.

Page 4/10 - L'anémogamie : la pollinisation par le vent
Les plantes étant dans l’impossibilité de se déplacer, la méthode de dispersion par le vent, appelée anémogamie, est celle que les gymnospermes (conifères, graminées, noisetiers, bouleaux… ) ont mise au point à l’origine pour la pollinisation.

Page 5/10 - L'hydrochorie : la pollinisation par l'eau
L’hydrochorie est le mode de dispersion des graines s’effectuant grâce à l’eau. Eaux de ruissellement, pluie ou courants marins : la pollinisation par l'eau peut revêtir différents aspects.

Page 6/10 - L’autofécondation et la pollinisation
L’autofécondation consiste en la fécondation d’un ovule par du pollen issu de la même plante. La plupart des plantes à fleurs étant hermaphrodites, l’on pourrait croire que l’autofécondation serait pour elles le moyen le plus simple pour assurer leur reproduction. Pourtant, il n'en est rien.

Page 7/10 - Biodiversité : les pollinisateurs menacés par les pesticides
L'Homme a pris conscience qu'il contribuait par ses actions à réduire les espaces de vie des pollinisateurs et, par ce fait, qu'il encourrait le risque de voir disparaître de nombreuses espèces de plantes, dont une grande partie est destinée à la consommation humaine et animale.

Page 8/10 - Biodiversité : le rôle des insectes pollinisateurs
Les pollinisateurs ne se résument pas qu'aux abeilles domestiques. Parmi eux l'on trouve également de nombreuses espèces sociales (bourdons) ou solitaires dont l'action discrète est indispensable à l'équilibre des écosystèmes.

Page 9/10 - Nos tee-shirts abeilles
La pollinisation joue un rôle majeur dans l'équilibre des écosystèmes et le maintien de la biodiversité. Puisque ce sujet vous intéresse, portez haut et fort nos tee-shirts pour la protection des abeilles.

Page 10/10 - En savoir plus sur la pollinisation
Pour en savoir plus sur la pollinisation, nous vous proposons quelques articles et sites Internet. Nous vous conseillons également la lecture du livre de Bernard Duran intitulé « Les abeilles, la planète et le citoyen », paru aux éditions Rue de l'échiquier.

Sources texte et images : Futura-sciences

Le Sansevieria revient avec ma plante mon bonheur

Le Sansevieria, plante du mois d'août par "ma plante mon bonheur"

Le Sansevieria, également connu sous le nom de Langue de belle-mère, est un grand costaud indestructible. Cette plante préfère dégager de l’humidité que d’en absorber et n’a aucun mal à quitter son désert pour un pot tendance dans une maison.

Le Sansevieria se reconnaît à ses feuilles coriaces et pointues, qui sortent verticalement de la terre. D’un vert presque gris, elles peuvent être rayées, mouchetées ou dotées d’un bord jaune. Ces feuilles sont remarquables à bien des égards, autres que leur apparence : elles augmentent l’humidité de l’air, dont on sait qu’elle est bénéfique pour la peau, les yeux et les voies respiratoires.
Le Sansevieria pousse dans des régions arides comme le désert d’Ethiopie. Cette origine explique pourquoi cette plante est si solide et ne souffre pas d’une chaleur sèche. Facile à vivre, le Sansevieria est une plante d’intérieur robuste, ce qui n’est sans doute pas étranger à son retour en force ces dernières années !

Quelques astuces pour en prendre soin :
Les Sansevierias sont très facile à l’entretien et ne craignent pas la chaleur sèche du chauffage. Cette plante peut être placée dans un endroit lumineux tant qu’elle n’est pas positionnée en plein soleil ardent. Une devise pour le Sansevieria : mieux vaut pas assez d’eau que trop d’eau ! Ainsi, il est important de s’assurer que le terreau sèche bien entre les différents arrosages légers

  

Bon à savoir :

• Il existe environ 70 variétés de Sansevieria.
• Le naturaliste Carl Peter Thunberg a donné son nom au Sansevieria en 1794, en l’honneur du prince italien Raimondo di Sangro, originaire de San Severo, qui créait des inventions tout à fait remarquables.
• Dans bon nombre de pays africains, les feuilles du Sansevieria sont utilisées pour la fabrication de corde et de paniers.
• Plus il est éloigné de la lumière du jour, plus le Sansevieria prend une couleur foncée. A l’inverse, en étant proche d’une fenêtre, celui-ci s’éclaircit.
• C’est le cadeau idéal pour une personne qui n’a pas la main verte ! Le Sansevieria ne râle pas quand il ne reçoit pas assez d’eau pendant quelque temps. Il est aussi assez indiqué pour un bureau ou une école.
• Le Sansevieria ne fleurit que très rarement : une tige apparaît entre les feuilles, sur laquelle poussent de petites fleurs insignifiantes.
• En Corée, les Sansevierias sont utilisées pour accueillir les participants d’un événement, ou des relations de travail.
• Les Sansevierias éliminent des substances toxiques de l’air, comme le formaldéhyde et le dioxyde de carbone, pour les remplacer par de l’oxygène. La chambre à coucher est donc le lieu idéal pour positionner cette plante !
• Le Sansevieria cylindrica est une variété récente, dotée de feuilles cylindriques souvent en éventail. Celle-ci complète parfaitement les autres variétés de la plante pour un intérieur aux lignes pures.

“À Chaque Mois Sa Plante” est une initiative de l’Office des Fleurs >> maplantemonbonheur.fr

Les Echinopsis cactus de Greg

Les Cactus ne sont pas mes plantes préférées, mais les Echinopsis de Greg sont vraiment très beaux

.

Greg est un passionné de ces cactus Echinopsis,Dès que les fleurs apparaissent, il les photographie et, les filme. Il en a fait un montage en Time Lapse d'une douzaine en fleurs, jusqu'au flétrissement au cours de la saison de floraison 2014.
Les Echinopsis fleurs de cactus fleurissent pendant la nuit et les fleurs durent qu'une journée. En fait, les fleurs sont à leur beauté de pointe pour une heure ou deux tout au plus.

 

Les cactus filmés dans cette vidéo proviennent de sa collection. La plupart des clips de ce montage montrent 8 heures de floraison, du bouton aux fleurs ouvertes . Vient ensuite un gros travail de montage pour arriver à ces clips, comme celui-ci .
Vous pouvez retrouver Greg et ses cactus sur son site : Exhinopsisfreak où vous verrez de nombreuses photographies de ses cactus .

Vos plantes pendant vos vacances, conseils

Les vacances arrivent, voici quelques conseils pour conserver vos plantes d'intérieur pendant votre absence.

 

 -1- Grand classique, demander à une voisine ou un membre de votre famille de les arroser. C'est une grande responsabilité que vous leur confiez. Sauront ils donner assez d'eau ou au contraire, plein de bonne volonté ne vont ils pas les noyer? Dans ce cas, n'hésitez pas à mette une fiche sur chaque plante et surtout, persuadez les qu'il n'y aura aucun problème si l'une des plantes ne supporte pas votre absence.

 

Regrouper les plantes à la lumière

 -2- Si vous partez une seule semaine, voir 10 jours, c'est très simple : baignez longuement toutes les plantes et regroupez les dans une pièce où vous pouvez leur laisser de la lumière naturelle. La salle de bains est très pratique avec sa baignoire, mais a t'elle une fenêtre ? Si c'est non, évitez cette pièce. En effet le manque de lumière fait plus de mal aux plantes que le manque d'eau. Réunir les plantes crée ainsi un micro-climat, elles vont unir leur évaporation et craindront moins votre absence. Si certaines plantes boivent plus que d'autres, vous pouvez les mettre dans une cuvette avec de l'eau au fond, mais pas trop, il ne faut pas les noyer.

Vous pouvez aussi utiliser différents systèmes vendus dans les jardineries, mais il faut les tester avant de partir, pour bien constater leur fiabilité ou pour faire des réglages. Les systèmes de goutte à goutte, parfois avec pompe électrique, sont bien fait, mais il ne faudrait pas que cela entraîne une fuite et inonde votre appartement ...

 -3- Si vous partez tout un mois …. C'est plus compliqué, il faut impérativement revenir au plan "1": que quelqu'un s'occupe de vos plantes. Un système d'arrosage pour un mois entier me semble un peu trop risqué.

 -4- Par contre si vous avez la chance d'avoir un jardin, sortez les dans un endroit bien ombragé. Si c'est possible enterrez les pots et arrosez abondamment avant de pailler l'emplacement ou installez un arrosage automatique .

 -5- Vous pouvez aussi trouver un fleuriste ou un horticulteur qui prend les plantes en pension. Elles reviendront encore plus belles, mais cela a un coût !

 -6- Il reste le problème de votre ficus Ginseng qui vit dans un petit pot ou bac : Une seule solution , l'emmener avec vous ! Au delà d'une semaine il ne résistera pas à la sécheresse, à votre absence et c'est trop risqué d'en donner la responsabilité à un tiers.

 

Ma plante mon bonheur présente la plante de juillet : Ficus Ginseng également appelé Ficus Microcarpa.

Une racine aérienne ramifiée, aux formes sinueuses, pourvue de petites feuilles coriaces, ovales et brillantes : voici le Ficus Ginseng. Ce bonsaï aux formes dessinées, adore être observé sous toutes les coutures et révèle un visage différent depuis chaque angle. Le regarder longuement en détail offre un véritable moment de détente pour profiter de toute sa fraîcheur et de cette œuvre d’art offerte par la nature.

On voit bien le point de greffe sous les feuilles

Je voudrai tout de suite corriger une erreur courante, ce n'est pas un bonsaï ! Un bonsaï est une plante que l'on empêche de grandir avec un pot trop petit et en le taillant régulièrement. Le Ginseng est les résultat d'une greffe entre une racine originale d'une variété de ficus et des branches d'une autre variété de ficus à petites feuilles .
Lorsque les températures extérieures grimpent l’été, il adore prendre quelques congés en terrasse, mais à l'ombre. C’est la raison pour laquelle ce bonsaï, avec ses feuilles luisantes, incarne si bien la Plante du mois de juillet.

 

A l’origine, le Ficus Ginseng ne se trouvait que dans certaines contrées d’Asie. De nos jours, ce sont uniquement les racines de cette plante d’intérieur qui y sont cultivées, notamment en Chine et en Malaisie. Elles y poussent durant une quinzaine d’années, avant d’être importées par des horticulteurs néerlandais. Ces derniers continuent à les faire pousser dans les serres pour en faire des bonsaïs. Le Ficus a donc presque vécu plusieurs vies avant de poser ses racines dans les domiciles !
Une plante qui vit des années
Le Ficus Ginseng a une espérance de vie exceptionnelle si l’on s’occupe de lui comme il faut. En l’arrosant modérément, un peu plus en été qu’en hiver, sans laisser l’eau stagner dans la soucoupe, puis en lui donnant régulièrement de l’engrais, le Ficus a de belles années devant lui. En été, il aime être placé dehors, de préférence à l’ombre. L’hiver, cette plante préfère hiberner dans un endroit frais, à environ 12°C et bien lumineux. De plus, pour conserver sa forme d’arbre miniature, le Ficus peut être taillé régulièrement.

 

Bon à savoir :
• Ficus signifie figue. A travers le monde, il existe plus de 2 000 variétés de Ficus.
• En extrême orient, entre autres en Chine, on attribue également des vertus médicinales à sa racine aux formes sinueuses.
• Dans la nature, le Ficus Ginseng peut devenir un arbre de plus de 20 mètres de haut.
• Si le Ficus Ginseng est déplacé, il a besoin d’un petit temps d’adaptation. Entre temps, il peut perdre quelques feuilles.
• Si l’air est trop sec, à cause du chauffage par exemple, il convient d’asperger le Ficus à l’aide d’un vaporisateur.

Sources : ma plante mon bonheur

Le retour des Gloxinias ?

J'ai vu passer sur le blog de Isabelle Feuvrier un article sur le Gloxinia. Je ne pensais pas que cette plante était encore commercialisée. Le Gloxinia des Fleuristes est également appelé "Gloxinia Élégant".

Gros Gloxinia traditionnel du siècle dernier

Il est originaire des forêts tropicales du Brésil de la famille des Gesnériacées. Il était très populaire dans les années 1970 à 1990, lorsque des horticulteurs locaux les produisaient. Nous proposions à la vente des plantes magnifiques , le seul problème était son transport. Les feuilles cassent très facilement, ces plantes prenaient beaucoup de place pour les livraisons des producteurs et pour nous fleuristes, l'emballage était très délicat et il n'était pas rare de voir revenir un client qui avait cassé plusieurs feuilles avant de l'offrir ….

Ces variétés à grosses fleurs et feuilles ont été remplacées par de plus petites plantes, plus facilement transportables, mais qui n'avaient plus l'élégance des anciennes cultures.
Je suis donc surpris de les voir à nouveau en boutique.
Le gloxinia des fleuristes est une très belle plante à fleur, idéale pour décorer un intérieur avec sa longue floraison et sa culture simple. Il apprécie la proximité d'une fenêtre, à condition qu'elle soit protégée par un voilage, car s'il aime une grande luminosité, il craint le soleil direct qui brûle ses feuilles.

Il présente sur une courte tige des feuilles d'aspect duveteux et assez charnues et de très grosses fleurs originales en forme de clochettes. La durée de vie du Gloxinia des fleuristes est assez courte, on peut essayer de le conserver l'hiver, mais il vaut mieux le considérer comme une plante annuelle.

Nouveau, le Kalanchoé croco

Un nouveau kalanchoé vient de faire son apparition chez un grossiste néerlandais, le kalanchoé croco.

Il est vraiment très original, ses fleurs vertes, d'une forme jamais vue en font une plante très moderne et décorative.

détail des fleurs

Comme tous les kalanchoés, c'est une plante facile à conserver, de la chaleur, un peu de soleil et très peu d'eau, c'est tout. Il faudra attendre encore un peu avant de le trouver chez votre fleuriste .

Découverte d'une nouvelle plante au Gabon

Une nouvelle plante à fleurs a été découverte dans la forêt tropicale du Gabon par des botanistes gabonais et français.

D’ un nouveau genre et d’une nouvelle espèce, cette plante à fleurs de la famille des annones (Annonaceae) a été nommée « Sirdavidia solannona » en l’honneur de Sir David Attenborough, naturaliste, réalisateur et présentateur anglais de la BBC, dont le travail a inspiré la vocation de nombreux biologistes.

Les fleurs de ce nouvel arbuste ne correspondent à aucune description de genre connu dans les Annonaceae : des pétales réfléchis rouges contrastant avec les étamines dressées jaune brillant. L’analyse des séquences d’ADN a confirmé la nécessité de créer un nouveau genre pour classer cette nouvelle plante. Les chercheurs ont également remarqué que l’espèce la plus apparentée à « Sirdavidia » s’est révélée être une espèce endémique de Tanzanie, située dans une forêt isolée à plus de 3 000 km.
Plus d'informations sur ce site  ICI 
Via Thérèse Baillard

Vite commandez le votre cadeau pour la fête des Pères

Dimanche c'est la fête des Pères, il est encore temps de commander sur Interflora.fr un bouquet ou une plante pour votre papa.

  

J'ai trouvé ce cadeau très adapté pour un homme : un Ficus Ginseng, hauteur 40/45cm, dans son pot en terre, accompagné du capteur Parrot® Flower Power*
*Le capteur sans fil qui mesure la température, les niveaux d'engrais, d'ensoleillement et d'humidité. Application gratuite pour Smartphones et tablettes sous iOS et Android. Contenu du pack : 1 Flower Power, 1 pile, 1 guide de démarrage rapide.

 

Le Spathiphyllum ou fleur de lune, conseils de soins

Le Spathiphyllum est également connu sous le nom poétique de fleur de lune ! Cette plante verte et blanche, éclatante de beauté, a également d’autres vertus à découvrir… Avec ses feuilles vertes luisantes, son épi blanc crème et sa bractée en pointe : le Spathiphyllum se distingue par une beauté racée. Il est également connu pour sa capacité à purifier l’air.

 

Le Spathiphyllum, de la famille des Aracées, comme l’Anthurium et la Calla, vient de loin, à savoir des forêts tropicales Amazoniennes, plus précisément de Colombie et du Vénézuela. C’est là que la plante a pris goût à un taux élevé d’humidité de l’air. Le Spathiphyllum fut introduit en Europe en 1870, ce fut le début de sa marche triomphale en direction des intérieurs.
Les soins du Spathiphyllum

• Le Spathiphyllum apprécie les emplacements clairs ou ombragés tant qu’il est arrosé abondamment chaque semaine.
• Attention, si ces « fleurs » deviennent vertes il a trop de lumière ! Éloignez le.
• Un oubli d’arrosage, les feuilles pendent ? Pas de panique, cette plante d’intérieur a du ressort et se rétablit vite après avoir bu à nouveau.
• Le Spathiphyllum se sent bien entre 15 et 23° et fleurit pendant quatre à dix semaines, pour se reposer ensuite durant quelques semaines. Après 3 mois environ, les nouvelles pousses développent à nouveau des fleurs.
• Le Spathiphyllum s’adapte très bien au milieu humide et chaud de la salle de bains, pourvu qu’il y ait de la lumière.
• Si les feuilles du Spathiphyllum développent des pointes brunes en hiver c’est que l’air est sans doute un peu trop sec. Un vaporisateur fera des merveilles.
• Le Spathiphyllum se plaît également bien à l’extérieur en été. Par contre, il faudra le placer à l’ombre.
• Le Spathiphyllum est une belle plante blanche et verte, qui a du ressort et une des plus efficace pour purifier l'air. 

 

Bon à savoir :

• Le Spathiphyllum représente la réconcilitation : ses fleurs blanches symbolisent le drapeau blanc, reconnu dans le monde entier comme un signe d’armistice.
• Le Spathiphyllum existe dans un bon nombre de variétés, allant de touts petits formats à d’immenses plantes.
• Les bractées blanches sont souvent prises pour des fleurs, mais les fleurs du Spathiphyllum sont minuscules et se trouvent sur l’épi.
• Disposer des Spathiphyllums en série dans un grand bac au bureau permettra de créer un climat de travail plus sain. 

Sources : “À Chaque Mois Sa Plante” est une initiative de l’Office des Fleurs,

Liens : Facebook, Twitter, Site Internet 

Crédits photo : ma plante mon bonheur

Ficus Ginseng, 5 semaines après sa taille, des images

Le 24 avril dernier, je vous montrais étape par étape (voir ICI) comment rempoter et tailler un ficus Ginseng.

Le jour de la taille avec les branches coupées

Il devenait trop encombrant et je lui avais fait une taille très sévère. 5 semaines plus tard, voici des images qui prouvent que les ficus se taillent très bien. Sur toutes les branches, de petites feuilles apparaissent et il va vite se regarnir.

Il ne faut pas avoir peur de tailler. L'important est de laisser des branches et des feuilles pour « tirer » la sève. Dans certains cas extrême, vous pouvez couper encore plus court et mêle laisser des branches à nu, il pourra repartir. Utilisez un outil bien aiguisé pour ne pas abîmer la branche et propre. Si vous ne l'avez pas rempoté, ajoutez de l'engrais pour plantes vertes à l'eau d'arrosage.

  

Cette taille peut se faire sur toutes les variétés de ficus à petites feuilles.
À suivre ...

Welwitschia Mirabillis, plante très curieuse de Namibie

Elle peut vivre entre 1000 et 2000 ans, rester 5 ans sans eau, c'est la Welwitschia Mirabillis .

Cette plante, avec ses allures de petite oasis, qui pousse en Namibie (Afrique australe) est un véritable casse-tête pour les botanistes. Non seulement elle vit en moyenne entre 1000 et 2000 ans, mais elle possède des caractères génétiques communs avec des espèces aussi différentes que les pommiers, les sapins et les fougères. Adulte elle offre l'aspect d'un énorme tas de copeaux. Mais le plus extraordinaire c’est que « Welwitschia Mirabilis » peut survivre cinq ans sans la moindre goutte d’eau !

 La plus grande Welwitschia connue, surnommée "The Big Welwitschia, atteint 1,40 m de haut et plus de 4 m de diamètre.

La Welwitschia pousse à partir d'un tronc court et épais qui comporte uniquement deux feuilles qui croissent continuellement à partir de leur base et une longue et épaisse racine. Les feuilles peuvent atteindre une longueur de 2 à 4 mètres et sont généralement divisées en bandes longitudinales, ce qui peut parfois masquer le fait qu'il n'y a que deux feuilles à l'origine. 

En savoir plus: sur la page Wikipédia 
Via Thérèse Baillard

Tamaya, le retour ?

J'ai eu la surprise de retrouver le Tamaya sur le blog d' Isabelle Feuvrier. Je ne pensais pas que cette plante était encore commercialisée.

Il a été très à la mode dans les années 70/80 et nous en proposions de toutes les tailles, du petit de 40 centimètres de hauteur jusqu'à 90 centimètres. Il était vendu dans un bac carré noir avec une jolie fiche d'entretien où on pouvait lire la légende du Tamaya, plante sacrée des Atzalcas, Indiens d'Amérique du Sud .... très jolie histoire inventée de toute pièce pour commercialiser cette plante. Sans chercher à vous décevoir, le Tamaya est le nom d'une marque, il s'agit d'un bégonia, bégonia "maculata", tout simplement, tailler selon cette forme particulière en ombrelle.

Il fleurit plusieurs fois dans l’année et offre à chaque fois de délicates fleurs rose pâle à rouge carmin selon les variétés et les conditions de culture.
On remarquera aussi son magnifique feuillage persistant qui évolue entre le vert brillant et le vert émeraude et qui se panache de points argentés pour offrir aux yeux un très bel effet décoratif. Il se bouture très facilement, mettez une branche dans l'eau et elle racinera très rapidement et vous fera une très belle plante .
Son défaut: lorsqu'il est en fleurs, il perd constamment des pétales et des sépales, vous ramasserez continuellement des déchets sous la plante.

Plante du mois de "ma plante mon bonheur" : l'Hibiscus.

L’Hibiscus, ou Rose de Chine, est une beauté qui, avec ses fleurs spectaculaires, ferait rêver d’îles tropicales aux plages de sable blanc et aux danseuses hawaïennes.

Bien sûr, les feuilles de l’Hibiscus sont magnifiques : elles brillent pour le plaisir des yeux et ont une belle forme ovale se terminant en une petite pointe. Mais ce qui attire véritablement l’attention sur la Rose de Chine, ce sont ses fleurs. D’un diamètre allant de 10 à 12 centimètres et dotées de 5 pétales, ces fleurs spectaculaires ne fleurissent qu’une journée, elles-mêmes suivies par de nouvelles fleurs, encore et encore. L’Hibiscus existe dans de multiples couleurs chatoyantes, rouge, orange, jaune, violet, rose, blanc et parfois même avec deux couleurs par fleur.

Même si l’Hibiscus semble venir tout droit d’Hawaï, cette plante est pourtant originaire d’Asie du sud ouest. Elle y pousse à l’état sauvage en buissons, dont certains peuvent atteindre jusqu’ à quatre mètres de haut. Connaissant les origines de cette plante, il n’est donc pas difficile d’imaginer que celle-ci aime être à l’extérieur par temps chaud.

Comme la plupart des plantes l’Hibiscus aime que l’on prenne soin de lui:

•  une petite place au soleil et un arrosage régulier suffiront à son bonheur.
• En ôtant les fleurs fanées, celui-ci continuera à produire de nouvelles fleurs.
• En hiver, cette plante aime bien hiberner : on inverse donc la tendance en la plaçant dans une pièce claire et plus fraîche et en lui donnant un peu moins d’eau.
• Au printemps, on peut la tailler un peu pour lui redonner l’éclat qu’elle mérite et le rempoter dans un terreau riche comme celui pour les géraniums.
• Et en été le mettre à l'extérieur
• Si l’Hibiscus se plaît à l’intérieur, il peut atteindre une taille conséquente. Il est donc judicieux de lui choisir un emplacement où il pourra s’épanouir pleinement, ou le tailler régulièrement
• Les boutons de fleurs de la plante tombent avant d’avoir fleuri ? Il suffit de vérifier si celle-ci n’est
  pas dans un courant d’air ou si son terreau n’est pas trop humide.

L’Hibiscus est associé à l’idée d’une beauté extraordinaire. C’est pourquoi, depuis des siècles, il est de tradition à Bornéo que les mariées portent une fleur d’Hibiscus dans les cheveux.

Sources : A Chaque Mois Sa Plante
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