Le pouvoir des fleurs

Le kalanchoé, une plante d'été

Vous cherchez une petite plante pour l’été, choisissez un ou plusieurs Kalanchoé(s). C’est une petite plante grasse qui demande très peu d’entretien, à l’intérieur ou à l’extérieur au soleil et tout cela pour un prix modique.

Kalanchoé est une déformation latine du mot chinois « Kalan Chau ». La plante pousse en milieu naturel en Chine et en Afrique du Sud et du Sud-Est. Les Kalanchoés sont très courants à Madagascar. C’est vers 1930 que cette beauté exotique fut introduite en Europe et sélectionnée par le marchand de graines allemand Robert Blossfeld. De nos jours, c'est une plante d’intérieur très populaire en raison du vaste choix de couleurs et de formes et de sa facilité d’entretien. La plante combine un aspect exotique et la facilité d’une plante grasse qui s’occupe en général très bien d’elle-même. Le Kalanchoé mérite aussi une prime pour sa capacité à supporter d’être en plein soleil et de mettre de la joie dur le rebord de la fenêtre.

Le Kalanchoé est la plante (fleurie) d’intérieur idéale pour ceux qui n’ont pas beaucoup de temps ou n’ont pas la main verte. La plante ne demande que très peu d’entretien car ses feuilles charnues stockent elles-mêmes de l’eau. Et sa forme naturelle est spectaculaire, avec ou sans couleurs éblouissantes.

Conseils:

• Le Kalanchoé aime la lumière et peut même être placé en plein soleil.
• Un peu d’eau une fois par semaine, Il préfère avoir soif, qu’un excès d’eau.
• Un peu d’engrais toutes les trois semaines et la floraison sera optimale.
• Les fleurs fanées ne se voient presque pas, le mieux est de les laisser.
• S’il ne gèle pas, le Kalanchoé peut aussi resplendir à l’extérieur.

Images office Hollandais des Fleurs

C’est l’été, sortez vos plantes vertes

Si vous avez un jardin et un endroit ombragé, c’est le moment de sortir vos plantes vertes.

Le ficus Ginseng bien à l'abri sous des arbustes de printemps

Il faut bien choisir l’emplacement, vos plantes doivent être à l’ombre, mas elles peuvent recevoir un peu de soleil. L’emplacement doit être assez proche pour éviter de les oublier et également près d’un point d’eau. Vous pourrez ainsi les arroser facilement et les brumiser, elles adorent ça.
J’ai sorti un ficus Ginseng et un Beaucarnéa que j’ai rempoté l’année dernière, mais qui n’a pas très bien poussé.
Je vais les laisser jusqu’au début de mois de septembre pour le ficus. Si je le rentre plus tard, les jours seront déjà plus courts, il aura moins de lumière dans la maison et il va perdre beaucoup de feuilles.

  

Le Beaucarnéa peut attendre plus longtemps, je le rentrerai lorsque les nuits vont se rafraîchir ( moins de 15°).
Si vous avez une orchidée cymbidium, il faut la sortir. Comme les autres à l’ombre en l’arrosant abondamment au jet. Cette orchidée peut rester plus longtemps à l’extérieur, n’ayez pas peur de la laisser jusqu’à ce qu’il commence à geler. C’est en réaction au froid que vous verrez sortir de belles hampes florales et vous profiterez de ces fleurs dans votre maison pendant tout l'hiver.

Une plante disparue, l'Asparagus Plumosus

Encore une plante que je n’ai pas vu depuis de nombreuses années, l’Asparagus Plumosus

Originaire d’Afrique du Sud l’Asparagus appartient à la Famille des Liliacées.
Cette plante d'intérieur séduit par son feuillage très fin, qui évoque celui des Fougères, de coloris vert tendre.
Cette plante supporte la sécheresse atmosphérique des appartements, surtout si la température reste fraîche.
Les tiges sont garnies de petites épines comme celles de sa cousine l’Asperge.

Il a été très longtemps un des rares feuillages utilisé par les fleuristes pour accompagner le traditionnel bouquet d’œillets.
Je me souviens dans les serres des horticulteurs de la côte d’Azur il y avait souvent de l’asparagus sur un côté et parfois sur l’autre poussaient des Strélitzias, c’était dans les années 60 /80 du siècle dernier.

liste de 200 plantes mellifères

Val'Hor a établi une liste de 200 plantes mellifères que vous trouvez ICI

La flore métropolitaine est estimée à plus d’un millier d’espèces mellifères.
Cette liste réduite à 200 végétaux a ainsi vocation à être un outil d’aide au choix des espèces à implanter, à partir de plusieurs critères tels que le type de plante ou la période de floraison, mais aussi leur disponibilité dans les circuits classiques de distribution et chez les horticulteurs et pépiniéristes de France métropolitaine. Elle a été élaborée sur une évaluation du caractère nectarifère et pollinifère de chaque espèce, fondée sur des ressources bibliographiques et des dires d’experts. Elle recense des végétaux répondant à la diversité des utilisateurs potentiels : espèces agricoles, cultures potagères et fruitières, plantes ornementales…
Elle inclut également certaines espèces réputées moins mellifères, mais présentant l’intérêt de répondre aux besoins des insectes pollinisateurs durant les périodes de disette ou de forts besoins alimentaires.

À l’inverse, des espèces susceptibles de présenter un intérêt n’ont pas été intégrées : celles liées à la production de propolis, en raison de la faible disponibilité de méthodes de quantification, et celles liées à la production de miellat. Pour chaque espèce listée, un indice de confiance sur l’estimation de la production de nectar et/ou de pollen a été calculé à partir du nombre de sources bibliographiques et des retours de dires d’experts recensés.
Cette liste répond en partie aux actions développées dans le cadre du plan de développement durable de l’apiculture et du plan de développement de l’agroforesterie. Conçue comme un outil évolutif pour les utilisateurs, les gestionnaires et les aménageurs d’espaces ruraux, urbains, agricoles, industriels ou de transport, cette liste reprend les espèces les plus communes et cultivées en France et n’a ni prétention à être exhaustive ni vocation à être fermée.

Du 20 au 27 juin, semaine française des plantes mellifères

La Semaine française des plantes mellifères : une action des professionnels du végétal pour agir en faveur des pollinisateurs et des abeilles.
En 2017, VAL'HOR lance une nouvelle opération intitulée la Semaine française des plantes mellifères, en partenariat avec l'Observatoire Français d'Apidologie.

Face à la diminution de la ressource alimentaire des pollinisateurs, cette opération a pour objectif de sensibiliser et de permettre aux consommateurs d'agir à leur niveau, en proposant dans les points de vente une offre en plantes attractives pour les pollinisateurs, à planter et à semer dans leurs jardins et à disposer sur leurs balcons et terrasses.
Les professionnels du végétal, distributeurs et commerçants, se mobilisent ainsi durant une semaine pour permettre à tous d'agir en faveur de l'environnement et de mettre ainsi en avant l'un des nombreux bienfaits du végétal.
La 1ère édition de la Semaine française des plantes mellifères se déroulera du mardi 20 au mardi 27 juin 2017.

Les abeilles se nourrissent essentiellement du nectar et du pollen des fleurs, leur survie dépend en grande partie de la disponibilité de ces ressources dans leur environnement. Les insectes pollinisateurs ont besoin pour leur équilibre alimentaire de butiner une grande diversité d’espèces florales agricoles, horticoles et sauvages.
L’uniformisation des paysages et l’artificialisation des territoires ont contribué à une réduction des ressources disponibles dans le temps et l’espace. Le maintien et le renforcement de la diversité floristique (arbres, arbustes, plantes annuelles…) sont essentiels à la santé des abeilles et des autres pollinisateurs.

La protection et le développement de surfaces fleuries, avec des espèces attractives pour les abeilles, sur des espaces tels que les surfaces agricoles (cultures, bandes enherbées, jachères), les jardins particuliers et publics, les abords des voies de circulation, les surfaces gérées par les collectivités, les zones industrielles et commerciales, …, sont autant de réponses à l’amélioration des conditions de vie des abeilles et des pollinisateurs.
Pour rendre ces espaces attractifs, il est recommandé d’utiliser des espèces végétales adaptées, nectarifères et pollinifères. C’est pour cette raison qu’a été élaborée la Liste de plantes attractives pour les abeilles Plantes nectarifères et pollinifères à semer et à planter, un outil à destination de ceux qui souhaitent participer à la protection des abeilles et des pollinisateurs.

Le nectar est un liquide sucré généralement sécrété par les nectaires, le plus souvent situés au niveau de la fleur. Le pollen se présente sous forme de petits grains intervenant dans la reproduction sexuée des végétaux.
Leurs productions sont issues de phénomènes complexes, dépendant de la plante elle-même et de facteurs environnementaux. La production de nectar est ainsi fonction de l’espèce, du positionnement de la fleur sur la plante, de la durée de floraison, de l’âge du végétal, de facteurs génétiques… La taille ou la texture des grains de pollen entraînent des stratégies de collecte différentes par les abeilles. Des facteurs climatiques tels que la pluviométrie, la température, l’ensoleillement, le vent influent sur la production de nectar et de pollen ainsi que sur leur récolte par les pollinisateurs.

 Très belle initiative de la part de Val'Hor même si je trouve que c'est un peu tard dans la saison, toutes mes plantations sont faites et je n'ai plus de place pour de nouvelles plantes. Je m'en souviendrai pour le printemps prochain.

Les plantes absorbent toujours plus de CO2

La photosynthèse des plantes a augmenté de 30% au cours du XXe siècle. C’est la première fois que l’on évalue à grande échelle la réponse du couvert végétal à l’augmentation de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Il me semble que la nature se défend ....

Le couvert végétal constitue avec les océans les deux puits de carbone qui absorbent environ la moitié des émissions humaines de CO2. Sans eux, le réchauffement climatique serait une réalité depuis longtemps et la planète ne serait peut-être plus habitable. Les plantes terrestres présentent ainsi un bilan net de captation d'environ 10 milliards de tonnes de CO2 tandis que la déforestation et les incendies en relarguent environ 4 milliards de tonnes stockés dans la cellulose du bois selon les calculs du Global Carbon Project (GCP). En toute logique, plus de carbone dans l'atmosphère implique une photosynthèse facilitée pour des plantes qui poussent alors plus vite tandis que les espèces grimpent vers les pôles avec le réchauffement des températures. La question est vivement débattue chez les biologistes et les climatologues.
Au cours du siècle dernier, les plantes ont effectivement absorbé 30% de CO2 supplémentaires.
La nouvelle réjouira certainement les climato-sceptiques qui argumentent que la hausse du CO2 et des températures va permettre d’augmenter la productivité agricole. Outre qu’une meilleure efficacité de la photosynthèse est bien insuffisante pour absorber le CO2 anthropique en excès, le réchauffement climatique va aussi provoquer des effets négatifs comme la durée des sécheresses ou la multiplication des vagues de chaleur néfaste aux plantes. De nombreux effets contraires sont également déjà constatés.

Sources et article intégral : site sciences et avenir 

Quelle plante offrir pour un Homme ?

Dimanche prochain, c’est la fête des Pères et on peut très bien offrir une plante à un homme, voici une petite liste proposée par l’Office Hollandais des Fleurs :
La sélection pour cette catégorie masculine comprend le croton, le Philodendron, la langue de belle-mère, le Schefflera et le Scindapsus, toutes de fortes personnalités capables d’encaisser quelques coups.

L’assortiment de plantes pour hommes est diversifié dans les formes, les tailles et les couleurs. Chaque genre compte plusieurs variétés et cultivars, ce qui multiplie considérablement le choix.
Le croton est très diversifié quant à ses formes et tailles mais compte également de nombreux cultivars. Ils font tous partie de la variété C. variegatum, ce qui signifie bicolore/varié et évoque la beauté de sa feuille.
Le Philodendron est tant une plante grimpante à grandes ou petites feuilles qu’un buisson ou arbuste. Ses feuilles coriaces sont souvent vertes ou légèrement rougeâtres. Les grandes plantes grimpantes ont parfois des racines aériennes. La langue de belle-mère est disponible dans de nombreuses formes et tailles, d’éventails et en tresses jusqu’à des exemplaires dont l’extrémité des feuilles est peinte ou feutrée. La couleur des feuilles est verte ou grise en fonction du cultivar.
Le Schefflera se présente sous plusieurs formes qui font souvent partie de la variété arboricola. En milieu naturel, le Schefflera peut aussi devenir un véritable arbre. Il est commercialisé en tant que plante solitaire en pot, sans ramification, comme un arbre d’appartement. Tous les Scheffleras se reconnaissent à leur feuille nervurée en forme de main.
Le Scindapsus (officiellement Epipremnum) est une plante grimpante et retombante pourvue de feuilles aux beaux motifs verts et jaunes.

 

Quelques conseils pour ces plantes :

• Plus la plante est colorée, plus elle a besoin de lumière. Si la feuille est plus verte, elle peut se contenter de moins de lumière.
  Philodendron, Schefflera et Scindapsus ne supportent pas la lumière directe du soleil. Le croton et la langue de belle-mère peuvent être placés en plein soleil et peuvent donc être sortis l’hiver.
• Plus le tronc est grand et épais, plus la plante est facile à soigner. Ne jamais laisser la motte se déshydrater complètement, arroser avec de l’eau à température ambiante et éviter les bains de pieds permanents. Ces plantes préfèrent manquer d’un peu d'eau que d'être arroser excessivement, surtout la langue de belle-mère.
• Retirer éventuellement les feuilles jaunies ou laides.
• Si une plante pour homme devient trop grande ou n’est plus aussi belle, elle peut (à l’exception de la langue de belle-mère) être taillée, de préférence durant les mois moins lumineux.
• Ajouter un peu de fertilisant pour plantes une fois par mois est suffisant.

Sources texte et images : Office Hollandais des Fleurs "à chaque mois sa plante"

Les roses à Lyon au musée Gadagne

Le 4 juin 2017 rencontre avec Pierrick Eberhard, spécialiste de la rose, dans le cadre de la manifestation nationale "Rendez-vous aux jardins".
Dans les jardins des musées Gadagne où s’épanouissent de nouveaux rosiers, Pierrick Eberhard vous livre les secrets de la reine des fleurs qui concourt à la renommée de Lyon dans le monde.

Découvrez également l’exceptionnelle Belle de Gadagne, rose spécialement créée pour les musées Gadagne par la famille Laperrière en 2015 à l’occasion de l’exposition Roses, une histoire lyonnaise.
Le 4 juin à 15h30, 16h30 et 17h30.

lien vers le site www.gadagne.musees.lyon.fr

Journées des jardins 2017

À l'occasion des journées des jardins 2017 qui ont lieu dans toute la France ce week-end, je vous recommande 2 visites dans notre région proche:

Le chateau de Bresson à Moissieu sur Dolon

Samedi 3 juin de 14h00 à 18h00 et dimanche 4 juin de 10h00 à 18h00, le Château de Bresson est heureux de vous accueillir dans le cadre des Rendez vous au Jardin.
Le thème, cette année, est "Le partage au jardin" .
L'association de Sauvegarde et de restauration du Château de Bresson vous propose un marché d'artisans le samedi et de producteurs et d'artisans le dimanche toute la journée.
Une occasion de découvrir des produits locaux et originaux dans un cadre ou le jardin et le parc s'expose dans toute ces plus belles couleurs.
Nous vous avons organisé un parcours bucolique et botanique avec un répertoire commenté et repéré des essences végétales nombreuses et originales présentes tant dans le jardin à la française que dans le parc paysagé issue du travail de plusieurs générations.
Laissez-vous guider au milieu de ses grands arbres, amusez vous à repérer les différents Cèdres, (cèdre bleu du Liban, cèdre de l'Himalaya, cèdre bleu de l'Atlas) .
Venez découvrir une rareté du Chateau de Bresson, son Pin noir de plus de 150 ans, un Sequoia sempervirens foudroyé il y a 10 ans et qui mesurait plus de 45 mètres, son labyrinthe de charmille de deux cents ans.
Venez nombreux pour découvrir ou re découvrir autrement le château de Bresson, un vrai cabinet de curiosité…

Site internet; www.chateaudebresson.com

Jardin du bois marquis à Vernioz

Christian Perron, créateur de ce jardin

Ce jardin botanique grand de 5,5 hectares est labellisé Jardin Remarquable, a reçu le 1er prix de la Société Nationale d'Horticulture Française en 2015. Il est de pur style anglais, présente une belle collection de plantes vivaces, graminées et bruyères.
Un arboretum de quatre hectares regroupe plus de mille arbres, essentiellement des feuillus, bouleaux, chênes et érables asiatiques. Deux étangs agrémentent cet espace de nature bien préservé.
Comme tous les ans, exposition d’art, musique dans ce magnifique parc.
lien vers le site internet: www.lejardinduboismarquis.com

1 730 nouvelles plantes découvertes dans le monde en 2016

C’est une publication qui ravira les naturalistes et, plus largement, les amoureux du monde végétal, on y apprend que 1 730 nouvelles espèces de plantes ont été découvertes en 2016 sur la planète. Les Jardins botaniques royaux de Kew, organisation scientifique qui gère notamment les célèbres Kew Gardens de la banlieue londonienne, inscrits au patrimoine de l’Unesco,ont livré, jeudi 18 mai, la deuxième édition de leur rapport annuel sur l’état des lieux mondial des plantes. Un « herbier » auquel ont contribué 128 scientifiques de 12 pays.

Une orchidée trouvée sur l’île de Madagascar, dont 83 % des plus de 11 000 plantes vasculaires ne poussent nulle part ailleurs.

Parmi ces 1 730 nouvelles espèces certaines constitueront peut-être des aliments du futur. C’est le cas de onze variétés brésiliennes de manioc (Manihot esculenta), la denrée de base la plus répandue dans le monde après le maïs et le riz.
C’est aussi le cas de sept variétés d’Asphalathus, plus connu sous le nom de « thé rouge » ou rooibos en Afrique du Sud. Six d’entre elles sont malheureusement menacées d’extinction. Font aussi leur entrée dans l’inventaire de la flore comestible un panais (Pastinaca) de Turquie, un câprier (Capparis) des Philippines, ou encore du gingembre (Zingiber) d’Extrême-Orient.
D’autres trouvailles intéresseront les adeptes des médecines traditionnelles, comme de nouvelles variétés de plantes grimpantes de la famille des Mucuna, qui produisent notamment le pois mascate, prisé par la médecine ayurvédique pour ses effets anti-vieillissement.

Vingt-neuf nouvelles espèces de bégonias ont été décrites, pour la plupart dans les forêts de Malaisie.

Pour le simple plaisir des jardiniers et des horticulteurs à la recherche de couleurs et d’odeurs inédites, le rapport fait également état d’une moisson de nouvelles plantes ornementales, dont vingt-neuf espèces de bégonias repérées en Malaisie, et pas moins de 336 espèces d’orchidées poussant dans les forêts tropicales.
« Une connaissance détaillée des plantes est fondamentale pour la vie humaine sur Terre, écrit Kathy Willis, directrice scientifique des Jardins botaniques royaux de Kew. Elles sont à la base de tous les domaines de notre vie quotidienne, de la nourriture que nous mangeons aux vêtements que nous portons, aux matériaux que nous utilisons, à l’air que nous respirons et aux médicaments que nous prenons. » Les plantes, ajoute-t-elle, « sont les fondements des écosystèmes mondiaux et elles contiennent potentiellement des solutions pour vaincre certains de nos problèmes les plus urgents ». Un patrimoine vert que le rapport veut inciter à « protéger et conserver ».

Les auteurs ne se contentent pas de cette brassée de découvertes. Ils pointent aussi les dangers que représentent, pour les écosystèmes, les plus de 6 000 plantes envahissantes désormais recensées sur le globe. Ils soulignent aussi les menaces qui pèsent sur le monde végétal, dont les incendies qui, chaque année, calcinent quelque 340 millions d’hectares, et surtout le changement climatique.

Sources texte et images : www.lemonde.fr du 18 mai 2017 article de Pierre Le Hir 

Floraison rare à venir au Parc zoologique et botanique de Mulhouse, un lys géant de 2m50 !

Dans moins d’une semaine deux plants de lis géant, jusqu’à 2m50, de l’Himalaya (Cardiocrinum giganteum) présents au Parc zoologique & botanique de Mulhouse, dans le jardin des plantes géantes, seront en fleur. Ce phénomène demeure rare puisque cette variété de lis ne fleurit qu’une seule fois avant de mourir.

Le lis géant de l’Himalaya, de la famille des liliacés, est une plante originaire du sud-ouest de la Chine et du nord-ouest de la Birmanie. Elle vit dans des massifs dont l’altitude est comprise entre 1600 et 3300 m et aime les expositions à mi- ombre ou à l’ombre ainsi qu’un sol léger et frais. Rustique, elle supporte des températures jusqu’à -18°C.

Son bulbe peut peser de 400 à 500 grammes. La plante présente de grandes feuilles vert sombre de 35 cm de circonférence. Son feuillage est caduc. Entre la cinquième et la huitième année, entre juin et juillet, apparait une hampe florale pouvant atteindre 2,50 m de haut. La fleur se présente sous forme de longs épis couleur crème, à raies rouge-pourpre à l’intérieur, parfumées et légèrement pendantes de 15 cm de long. Le lis ne fleurit qu’une seule fois, il est dit « monocarpique ». Il dépense tellement d’énergie pour sa floraison qu’il meurt tout de suite après. Dans son biotope d’origine, il peut se ressemer. Selon les conditions météorologique, la fleur est visible entre 15 jours et 3 semaines. Au Parc zoologique & botanique de Mulhouse, les fleurs sont visitées la nuit par les sphinx qui s’immobilisent en vol stationnaire comme le colibri. Cette floraison est une belle occasion de découvrir ou re-découvrir le jardin des plantes géantes.

  

Le jardin des plantes géantes Inauguré en 2016, ce massif de 1340 m2 a été pensé pour rassembler en un même endroit les plantes vivaces les plus hautes, de 2,50 m à 3 m de haut, ou celles présentant les plus grands feuillages, jusqu’à 1,30 m de diamètre, et capables de résister au climat de la région. Les plus hautes comme par exemple le pavot à plume (Macleya cordata), le silphion perfolié (Silphium perfoliatum) ou encore l’osmonde royale (Osmunda regalis), la plus grande fougère européenne, procurent aux visiteurs une immersion dans un monde végétal luxuriant, digne des pays tropicaux. La plante vedette incontestée est ce lis géant de l’Himalaya (Cardiocrinum giganteum) dont la fleur peut atteindre 2,50 m de haut.

Sources : http://www.tela-botanica.org/ 

En vidéo : les plantes carnivores attaquent

Cet incroyable film intitulé « Carnivora Gardinum » a été réalisé par Chris Field , un ingénieur et photographe . Dans cette vidéo de 3mn40 on peut voir les différentes techniques utilisées par les plantes carnivores pour capturer leurs proies.

Il lui a fallu plus d’un an de travail avec 107 jours de tournage direct avec 2 caméras et plusieurs appareils phographiques pour venir à bout de cette magnifique réalisation dans laquelle il partage son regard inquiétant sur la jungle et les plantes carnivores qu’elle abrite.

  

Découvrez sans plus attendre à quel point la nature peut être sans pitié et belle à la fois…
Pour réalisé cette incroyable il a fallu plus d’un an d’efforts à Chris. Il a commencé à construire un équipement timelapse , puis il lui a fallu trouver des financements car tout ce matériel coûte très cher pour construire tout le système très complexe de prise de vue. Il a été obligé de créer une entreprise : The Chronos Project LLC. Il a pu enfin se consacrer aux différentes phases, film, montage, etc..

Pour les spécialistes, voici l'équipement utilisé
TheChronosProject.com
Système de contrôle environnemental du module de contrôle Biolapse. DIY.
Chronos HD Rail
Chronos Lite Rail
Appareil à lentilles
EMotimo.com
EMotimo TB3 noir
Fuji XE-1
Fuji XM-1
Nikkor 60mm f / 2.8 macro
Nikkor 50mm f / 1.4
Nikkor 28-70mm 3.5-5.6

Carnivora Gardinum from chris field on Vimeo.

Lien vers le site de Chris: www.biolapse.com

 

Incroyable ! Des spécimens botaniques rarissimes détruits par l'administration australienne

105 planches du Muséum national d’histoire naturelle de France ont été détruites par les services de biovigilance du ministère australien de l’Agriculture. Une bévue qui constitue une perte scientifique et patrimoniale pour le monde entier.

Lagenophora stipitata
Spécimen type de Lagenophora stipitata collecté par le botaniste La Billardière en 1792 et détruit en mars dernier par les services sanitaires australiens.
MNHN-HERBIER NATIONAL, PARIS TYPE.

Le Département de l'agriculture et des ressources en eau australien a procédé courant mars 2017 à la destruction de 105 planches provenant de la collection de l'herbier du Muséum national d'histoire naturelle. "Parmi ces planches, se trouvent six "spécimens types", déplore Michel Guiraud, directeur des collections du Muséum national d'histoire naturelle (MNHN) de France. C'est-à-dire que nous avons perdu les plantes portant l'ensemble des caractères distinctifs de ces espèces et qui n'étaient conservées qu'au sein de l'herbier du muséum, soit une sorte de mètre étalon végétal valable pour le monde entier".

Que s'est-il passé ? "On n'en sait rien, nous avons demandé des explications aux services australiens et nous n'avons pas encore eu de réponse", poursuit Michel Guiraud. L'envoi des spécimens à l'herbier du Queensland situé à Brisbane, fait partie d'une routine pour l'herbier du MNHN. Cette institution qui recèle 8 millions de végétaux reçoit tous les ans 1300 scientifiques et expédie dans le monde entier plus de 1000 colis comme celui envoyé à Brisbane à la demande de scientifiques. Bien que venant d'être totalement numérisée et désormais accessible sur Internet, la collection est ouverte aux prêts. "Les chercheurs peuvent visualiser la plante qui les intéresse et décider que des examens plus approfondis, génétiques, isotopiques ou autres, sont nécessaires pour leurs recherches et imposent un examen du spécimen dans leur laboratoire", précise Michel Guiraud. La demande australienne est arrivée fin novembre, le paquet est parti en décembre et c'est le 7 avril seulement que le Muséum a appris qu'il avait terminé dans un incinérateur.
Quinze jours auparavant, la même mésaventure était arrivée à un colis de lichens rares provenant de Nouvelle-Zélande.
Les résultats de l'enquête ne permettront pas de réparer l'erreur. Et celle-ci est aussi scientifique que patrimoniale. Les plantes détruites ont été collectées en 1792 par le botaniste français Jacques-Julien Houtou de La Billardière. Il a ainsi prélevé des plantes en Afrique du Sud et en Australie avant d'être fait prisonnier en 1793 dans l'île de Java par les Hollandais alors en guerre contre la France. La collection de La Billardière, contenant plus de 4000 plantes dont les ¾ inconnues à l'époque, est alors saisie et renvoyée en Angleterre. Bien des années plus tard, elle lui sera restituée sous la pression du grand botaniste anglais Joseph Banks.
Tout envoi vers l'Australie est suspendu
Cette belle histoire de solidarité scientifique a donc fini dans les flammes. Elle permettait aussi au Muséum de répondre à bon nombre d'interrogations des botanistes australiens. Ces échantillons vieux de 230 ans constituent en effet un point de départ pour retracer les évolutions génétiques récentes de l'espèce en les comparant avec les plantes actuelles. On peut ainsi déterminer des changements de morphologie vis-à-vis du spécimen type. La botanique est principalement "une science de comparaison". Pour les Lagenophora, ce type de recherche n'est plus possible.

Sources : www.sciencesetavenir.fr

A Chaque Mois Sa Plante, mai 2017: les plantes vice versa

L'Office Hollandais des Fleurs nous propose le terme de «  plantes vice versa »:
Laisser l’intérieur se prolonger à l’extérieur et faire du jardin sa deuxième maison est de plus en plus populaire.

Calla, campanule, Celosia, Platycodon et lis en sont des plantes idéales : superbes plantes en pot qui peuvent être placées aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur et tisser ainsi un lien naturel entre le salon et le jardin. Les variations de couleurs et de formes sont presque illimitées mais varient fortement d’une variété à l’autre. La campanule et la Platycodon sont souvent de couleur bleue, blanche ou rose et le lis est abondant en orange, jaune, blanc et rose. Pour le Celosia et le Calla, la palette des couleurs est encore plus diversifiée, de teintes pastel aux couleurs les plus vives et les plus intenses. Ces plantes fleurissent abondamment d’avril à septembre.

  

Les origines de ces plantes vice versa sont très diverses. Le Calla est une plante de marécage bien ancrée dans les berges. Cette plante pousse de l’Afrique du Sud au Malawi, souvent à des endroits où l’évacuation des eaux de pluie est perturbée. Il se forme alors un marécage temporaire dans lequel le Calla puise l’humidité qu’il stocke dans son bulbe. Cela l’aide ensuite à survivre durant les périodes sèches. Tous les lis utilisés comme plantes d’intérieur sont des croisements, la plante vivant en milieu naturel au Japon, en Chine et en Corée. Le Celosia tropical vit en Afrique orientale, en Amérique du Sud et en Asie du Sud-Est et s’est désormais propagé dans toutes les régions tropicales. La plante est sélectionnée et cultivée depuis 1989 aux Pays-Bas. Auparavant, de nombreuses formes cultivées étaient importées du Japon. La campanule pousse en Italie et les racines du Platycodon se trouvent en Asie orientale.

  

Le Calla (Zantedeschia) à grandes fleurs et à petites fleurs de différentes couleurs : blanc, jaune, rose, pourpre, lilas, saumon, orange.
Le Lis en pot: le groupe Asiatique (petits boutons, feuille fine, couleurs vives), le groupe Oriental (gros boutons et grosses feuilles et fleurs odorantes, surtout en blanc et en rose), le groupe Longiflorum (fleurs blanches allongées) et le groupe LA (croisement entre les groupes Longiflorum et Asiatique, avec surtout des teintes pastel).
Le Celosia est ces dernières années sélectionné de façon intensive pour obtenir des belles nouvelles variétés dont les fleurs ont des formes et des couleurs magnifiques (vives, pastel et bicolores).
Le Platycodon est limité dans son assortiment à trois couleurs : blanc, bleu et rose. Avant l’éclosion des fleurs, elles ont une forme de ballon.
L’assortiment des campanules est vaste et comprend surtout des variétés blanches, bleues et bicolores.

Pour bien les soigner:

• Toutes les plantes vice versa aiment à être dans un endroit frais et éclairé à l’intérieur, c’est ainsi que leur floraison est la plus longue.
• Les plantes supportent d’être en plein soleil autant que dans un endroit semi-ombragé.
• Le Calla et le lis, en tant que plantes à bulbe, sont les plus faciles à soigner : il suffit de les arroser une fois par semaine.
• La campanule, le Celosia et le Platycodon ont des feuilles plus douces qui s’évaporent davantage et ont donc besoin de plus d’eau : la motte doit toujours rester légèrement humide.
• Pour une floraison luxuriante, donner un peu de nourriture pour plantes deux fois par mois et retirer les fleurs fanées pour prolonger la floraison.

Sources Office Hollandais des Fleurs

Les roses sont les fleurs les plus achetées pour la fête des mères

D’après une étude réalisée l’année dernière après la fête ds mères, les roses ont été les fleurs favorites et les orchidées les plantes préférées des Français.

  

Plus de 3 millions de foyer offrent des fleurs à cette occasion. Pour un budget moyen de 24,90 euros.

• 53 % des acheteurs ont choisis des fleurs coupées à la pièce ou en bouquet.
  • 41 % ont préféré les roses,
  • 8% les lys
  • et 7 % les pivoines.
• 47 % des acheteurs ont offert une plante, (21 % d’intérieur et 26 % d’extérieur**) :
  • 9 % orchidée,
  • 6 % géranium,
  • 5 % dipladénia
• 41 % de ces achats ont été effectués chez un fleuriste,
  • 22 % en grande surface,
  • 13 % en jardinerie.

Sources 2016 Kantar TNS pour Val’Hor et FranceAgrimer
** je suppose que les plantes d’extérieur sont en majorité destinées au souvenir et déposées sur une tombe.

Vous avez des plantes vertes chez vous: vous vivrez plus longtemps !

Votre passion pour les plantes et votre envie de transformer votre intérieur en un paradis de verdure pourraient bien vous valoir de vivre plus longtemps que la moyenne.
Selon une nouvelle étude publiée par la Harvard's School of Public Health, les plantes et espaces verts seraient non seulement bons pour notre moral et notre santé, mais permettraient aussi d'accroître significativement notre espérance de vie. Leurs recherches montrent également que les femmes étant entourées de végétations étaient moins souvent sujettes à la dépression, avaient un engagement social plus élevé et pratiquaient davantage une activité physique.

Pour parvenir à cette étonnante conclusion, les chercheurs ont suivi pendant huit ans 100 000 femmes américaines dans leurs habitudes de vie. Il s'est avéré que les femmes vivant près d'espaces verts et accordant chez elles une place aux plantes présentaient un taux de mortalité de 12% plus faibles que celles vivant dans un environnement sans verdure.
Comment expliquer les bienfaits des plantes sur notre santé mentale et physique ? Les chercheurs avancent que la diminution des risques de développer une dépression pourrait résulter du temps passé dans les espaces verts : en passant du temps à l'extérieur et soleil, nous ferions une cure de vitamine D, qui contribue à réduire les états dépressifs. Fréquenter les espaces verts permet aussi de rencontrer du monde, de sociabiliser, et enfin d'être physiquement plus actif et donc susceptible d'être en meilleure santé.

Faire de l'exercice améliore également la fonction cognitive, l'apprentissage et la mémoire. Les activités de plein air peuvent aider à atténuer les symptômes de la maladie d'Alzheimer et de la démence. En outre, les environnements plus verts ont généralement des niveaux de pollution plus faibles, ce qui signifie que le risque de maladie respiratoire peut être réduit.

Alors, mettez des plantes chez vous, bichonnez les, sortez régulièrement et profitez de la nature !
Sources :

• page twitter Val'Hor
• https://ehp.niehs.nih.gov/15-10363/  
• images office Hollandais des Fleurs
  
  

Le Mandévilla, belle plante du soleil

L' Office Hollandais des Fleurs présente la plante du mois de mai : le Mandevilla, une plante grimpante exotique pleine de gratitude!
Le Mandevilla est l’une des plantes fleuries d’extérieur les plus accommodantes. De mai jusqu’aux premières gelées, la plante se couvre de fleurs blanches, roses ou rouges et ce, sans réclamer de soins exagérés.

La popularité du Mandevilla sur les balcons ou terrasses ne doit rien au hasard. La plante était jadis également nommée Dipladenia et est parfois encore vendue sous ce nom. Cette plante de jardin est une source de grand plaisir.
Le Mandevilla, ou jasmin de Chine, est un buisson grimpant qui fleurit de mai à octobre. Originaire d’Amérique du Sud, cette plante grimpante exotique se plait aussi énormément au soleil. Elle produit en continu des fleurs délicieusement parfumées en forme d’entonnoir. Dans son feuillage vert foncé brillant, les fleurs contrastent magnifiquement.
La plante est disponible dans divers formats : des petites plantes à utiliser comme plante de table sur la terrasse à de très grandes plantes grimpantes évoluant sur des grillages ou tuteurs d’un mètre de hauteur. Vous pouvez même en faire un mur végétal complet car cette plante produit en peu de temps de longues tiges capables de couvrir tout un mur. Il convient d’aider les tiges à grimper.
Les couleurs blanc, rose et rouge sont magnifiques séparément mais le spectacle de trois couleurs mélangées dans un pot peut également être intéressant.

    

Soins à apporter au Mandevilla:

• En extérieur au soleil
• Pas d’excès d’arrosage
• Enlevez régulièrement les fleurs fanées
• le rentrer dès les premiers froids dans une pièce lumineuse et fraîche

Sources texte et images Office Hollandais des Fleurs, ma plante du mois

1, 2, 3, demain 14 mai courez pour le canal du midi

1, 2, 3 canal !, c'est le nom d'une opération organisée ce dimanche 14 mai à Toulouse. Moyennant une petite participation, des amoureux du canal du Midi pourront courir ou marcher en famille et aider ainsi à sauver ses berges.

Depuis des années, une opération d'arrachage des platanes et de replantages d'autres essences est menée pour lutter contre un impitoyable champignon.
Autour du vénérable canal du Midi - 350 ans -, des platanes sont régulièrement arrachés pour combattre un fléau : le chancre coloré, un champignon qui ronge le bois de ces arbres. Plantés à 8 m les uns des autres, ils ont depuis longtemps entremêlé leurs racines et c'est par là que le parasite, apparu en 2006, poursuit son inexorable progression. L'arrachage est donc la seule solution.
Or, ces platanes ne sont pas là que pour faire de l'ombre mais aussi pour stabiliser les berges. Depuis 2013, VNF (Voies Navigables de France), le gestionnaire des cours d'eau, a lancé un appel au peuple pour financer le replantage d'autres essences, chêne chevelu, tilleul à grandes feuilles, érable plane, micocoulier et peuplier blanc. Entreprises et particuliers ont répondu à l'appel et 5.700 arbres ont déjà été plantés. Il en reste encore beaucoup à ajouter et il faut aussi effectuer un travail de restauration des berges.
Pour renouveler l'adhésion du public, comme en 2016, VNF organise dimanche prochain (14 mai) une journée de marche et de course à Toulouse, au départ du muséum d'histoire naturelle. Tout le monde peut y participer puisque cette sortie se décline en trois versions : une marche de 2,5 km et deux courses, l'une de 5 km et l'autre de 10 km. Le droit d'inscription (respectivement 9, 15 et 17 euros par personne au-dessus de 10 ans) servira intégralement à l'opération de replantage.
Tous les détails sont à trouver sur le site de la journée : www.123 canal.fr  

Plus d'informations sur le site futura-sciences.com

Des fleurs exeptionnelles

Pour vous qui aimez les fleurs, voici des fleurs exceptionnelles que nous avons admirées sur les îles Borromées sur le lac Majeur en Italie.

  

Des fleurs magnifiques qui profitent d'un micro-climat très doux dans cette partie des Alpes. Des azalées, rhododendrons, camélias d'une taille exceptionnelle enchantent les milliers de visiteurs  par leurs couleurs, leur diversité et les nombreuses variétés. Tous les jardins sont extrêmement bien entretenus, malheureusement, la veille de notre visite, une très grosse pluie avait bien abîmé les fleurs.

  


  

 

Pour tous les amoureux des fleurs et des plantes, c'est une visite à faire à la fin du mois d'avril ou au début du mois de mai.

  

Retrouvez d'autres images de fleurs sur ma page facebook

Une plante fleurie grimpante pour terrasse ou jardin ; la Clématite

Les plantes grimpantes sont très populaires. Dans les jardins de petite taille ou sur une terrasse dans un grand bac, il est agréable de pouvoir s’asseoir et profiter de leur floraison. Une Clématite est alors la solution idéale car elle ne couvre qu’une petite partie du sol et apporte beaucoup de couleurs.

La clématite, parfois nommée vigne de Salomon, est la plus populaire parmi ces plantes grimpantes qui poussent à la verticale. Si vous disposez d’un mur ou d’une pergola, la clématite couvrira joliment cette surface qu’elle embellira de fleurs colorées. Il existe des centaines de variétés et de formes de clématite. Il s’agit d’une plante grimpante qui résiste à l’hiver et porte parfois, après la floraison, de magnifiques boules duveteuses.
La plante grimpe en faisant usage de pétioles transformés en vrille. Ces pétioles sont particulièrement longs et recherchent de quoi s’accrocher dès qu’ils deviennent un peu fermes. Les plantes peuvent être plantées aussi bien en pleine terre qu’en bac. Veillez seulement à ce que la plante dispose bien d’un tuteur pour l’aider à s’accrocher, par exemple une pergola, un bâton ou une grille de câbles tendus.

  

La clématite est une plante qui fleurit en abondance et le nombre de couleurs et de formes de fleurs est très important. Surtout le bleu, le rose, le violet et le blanc qui sont des couleurs très courantes, mais elle existe également de plus en plus en bicolore, à fleurs simples ou à fleurs doubles. La taille des fleurs peut varier de 2 à 24 cm. La surface de la fleur est en fait son calice, dont les couleurs sont magnifiques. La clématite la plus précoce fleurit en mars et avril mais la plupart des variétés commencent en mai et fleurissent jusqu’à la fin du mois de septembre. Le mois d’avril est le mois idéal pour la planter dans le jardin. Diverses collections existent, de variétés à floraison précoce et à feuillage persistant à d’autres qui fleurissent plus tard en été et perdent leurs feuilles en hiver.

Pensez y pour la fête des Mères ....

Avez-vous rempotez vos plantes vertes ?

Nous arrivons au mois de mai et il est temps de rempoter vos plantes vertes qui seraient un peu à l’étroit dans leur pot.
Il faut acheter un terreau « spécial plantes vertes » ou d’intérieur de qualité . Évitez le terreau bas prix de grande surface, il est grossier et ne reteindra pas suffisamment l’eau.
Suivant vos plantes vous pouvez soit, mettre un pot plus grand ou remettre le même pot.
Pour un pot plus grand choisissez un diamètre plus grand de 6 à 8 centimètres. Si c’est un pot traditionnel en terre, trempez le plusieurs minutes dans l‘eau pour éviter qu’il n’absorbe l’humidité de votre plante.

1. Placer un tesson au dessus du trou au fond du pot.
2. Couvrez le fond du pot avec votre nouveau mélange de terre.
3. Dépotez votre plante (que vous aurez bien arrosée), enlevez avec les mains, sans outil, le plus de terre ancienne, sans abîmer les racines et déposez la avec sa motte dans le nouveau pot.
4. Ajoutez le nouveau mélange de terre de chaque côté en tassant pour éviter les poches d'air.
5. N'enterrez pas votre plus profondément qu'avant et laissez un espace libre entre la surface du sol et le rebord du pot pour l’arrosage et arrosez pour coller le terreau sur la motte .
6. Ne mettez pas d'engrais cette année, les racines vont très vite puiser leur nourriture dans la nouvelle terre.
7. Profitez en pour lui faire sa toilette, tuteurage, enlever les feuilles abîmées, dépoussiérage....

  

avant                             après rempotage

Vous pouvez également consulter ma page spéciale "conseils pour rempoter ses plantes d'appartement"

Les plantes Succulentes

Les succulentes doivent leur nom officiel au mot grec succus qui signifie suc. C’est en effet une plante pleine de suc, spécialisée dans l’art de retenir l’eau. Cette eau peut lui être vitale, car elle est originaire de régions sinistrées par la sécheresse. Elle est un des rares végétaux à défier tous les éléments.

En réalité, les Succulentes ne constituent pas une famille de plantes à proprement parler. Les Succulentes, c’est à dire des plantes capables de stocker de l’eau dans leurs racines, tiges ou feuilles, sont présentes dans des dizaines de familles. Certaines familles ne comptent que quelques variétés, tandis que d’autres ne comportent quasiment que des Succulentes. Un exemple très connu de Succulente est le cactus.
C’est une plante qui est devenue en quelques années très « tendance ». On la retrouve partout : en petits pots disséminés dans la maison, dans d’originales compositions ou encore dans des bouquets de mariée. Elles doivent cette popularité à leur le plus souvent couleur grise, leur forme originale et leur solidité à toute épreuve.

  

Les Succulentes demandent très peu de soin:

• Un endroit lumineux, le plein soleil est apprécié par certaines variétés alors que d’autres ne le supportent pas.
• En ce qui concerne la température, tout lui convient.
• Il faut l’arroser peu, mais régulièrement en été, en hiver une fois par mois tout au plus. Mieux vaut pas assez que trop, des racines pourries sont trop souvent la cause d’un décès prématuré.

Sources textes et images : Office Hollandais des Fleurs

Une magnifique plante grimpante, la Glycine

La Glycine appartient au genre Wisteria qui regroupe des plantes ligneuses et grimpantes de la famille des Fabacées. C’est une magnifique plante ornementale grimpante en raison de ses grappes de fleurs printanières et de son épais feuillages.

Attention de bien choisir son emplacement, elle peut devenir envahissante et ses branches vigoureuses sont capable d’arracher les supports qui la soutienne. Selon la variété, les fleurs sont violettes, bleues ou blanches. La longueur des inflorescences varie de 10 cm à un mètre pour Wisteria floribunda var. 'Macrobotrys'. Certaines sont très parfumées. Ces derniers sont originaires des États-Unis, de Chine et du Japon. Les graines sont toxiques. L'espèce la plus connue est la Wisteria sinensis, la glycine de Chine, largement naturalisée en Europe occidentale.

En automne ses fruits duveteux et très durs peuvent être cueillis pour faire des décorations, attention toutefois, les graines sont très toxiques.
Une magnifique plante de printemps qui garnira très bien une pergola ou un avant-toit comme ici. Je lui reconnais un gros défaut, la Glycine est très salissante lorsque les fleurs ou les feuilles tombent.

Le Stéphanotis

Le Stéphanotis est une plante fleurie très originale et très parfumée, c' est le symbole du bonheur : ses tiges et ses feuilles coriaces sont robustes, mais ses fleurs d’un blanc pur sont vulnérables et délicates.

C’est une plante vendue sur tuteur ou le plus souvent sur un arceau, mais il est possible de lui laisser la liberté de prendre de l'ampleur car ses lianes miniatures, de couleur verte, ont la faculté de s'accrocher à n'importe quel support à leur portée : cordons, tringles, rideaux, etc...

Pendant longtemps ses fleurs étaient utilisées dans la composition des bouquets de mariée. Mais ce sont surtout ses fleurs blanches, cireuses, et de forme étoilée qui semblent sortir d'un conte de fée : il émane de ces petites trompettes une senteur qui évoque un mélange de jasmin et de lys, un parfum qui surprendra en permanence.
Le meilleur emplacement : un endroit aéré et éclairé, à l'abri du soleil direct, dans une véranda par exemple.
Pour conserver un Stéphanotis dans la maison :

• Température : 20°C environ.
• Arrosage : Pendant sa floraison, le Stephanotis apprécie d’être bien hydraté, sans pour autant laisser l'eau stagner dans le pot.
• Il n'aime pas beaucoup le changement : donc une fois en place, ne tournez plus le pot, car un Stephanotis que l'on vient de changer de position se vexera et laissera tomber ses boutons.
• Attention : la floraison de cette plante persistante et volubile n'est pas toujours facile à obtenir ; pour qu'elle ait lieu, mieux vaux lui faire rendre une période de repos en hiver : conservez-la durant ces mois sombres dans une pièce fraîche et claire, et diminuez fortement les arrosages.
• Le Stephanotis était la plante favorite de Marilyn Monroe : elle en aimait tellement le parfum qu'elle en fleurissait toute sa maison.

Nouveau, l’Hortensia magical colours

Le nouvel hortensia d’intérieur Magical Colours your Home a une durée de floraison exceptionnellement longue, ses couleurs changent tout au long de sa floraison, une plante vraiment magique !

L’hortensia d’intérieur compact et richement fleuri est disponible en deux variantes : Magical Revolution et Magical Amethyst, toutes deux disponibles en rose clair ou bleu clair au début de la floraison. Sous l’effet de la lumière du jour, les hortensias changent peu à peu de couleur. Les fleurs commencent en rose et bleu et s’achèvent en rouge foncé celles du Magical Amethyst finissent en vert foncé.

Ces hortensias d'intérieur sont très résistants et leur floraison est très longue. C’est une plante basse, compacte et ses fleurs petites et serrées sur la tige. Si vous en prenez soin, vous les conserverez en fleurs pendant 5 mois. Leur entretien est d’ailleurs simple : il suffit de maintenir le sol humide et d’ajouter une fois par mois un peu d’engrais pour hortensias durant la période de floraison.
Ils sont disponibles en pots de différentes tailles de la fin mars jusqu’en septembre, auprès des fleuristes et des magasins de jardinage.

Lien vers le site de présentation magical colours

Jardinez,vous serez en meilleur santé.

Des chercheurs ont découvert que le jardinage est un antidépresseur naturel
Les amateurs de jardinage vantent la longue liste des avantages qui incluent la réduction du stress et l’amélioration de l’humeur
Les experts affirment que jardiner, respirer l’air frais et s’exposer aux rayons du soleil aide ceux qui souffrent de dépression. Cela est dû aux micro-organismes qui sont présents dans le sol.

La Mycobacterium vaccae (M. vaccae) est une bactérie présente naturellement dans la saleté et le sol elle active la libération de sérotonine et de dopamine dans le cerveau.
Ensemble, ces neurotransmetteurs envoient des messages chimiques dans le cerveau: la dopamine affecte vos émotions par des sensations de plaisir et de douleur, tandis que la sérotonine régule notre humeur, notre comportement social, notre libido, notre mémoire et notre sommeil.
Quand on jardine, ces micro-organismes sont absorbés dans votre peau et sont inhalés à chaque respiration. En entrant dans la circulation sanguine et le système respiratoire, cela stimule votre humeur et soulage vos douleurs.
Selon une étude menée par les neuroscientifiques Dorothy Matthews et Susan Jenks, publiée dans le Journal Behavioural Processes, «manger, toucher et respirer un organisme du sol peut être lié au développement de notre système immunitaire et de notre système nerveux. »

Ces bactéries sont un produit de la génétique et du mode de vie, en interaction avec l’ensemble de notre corps, allant de nos poumons à notre intestin. Selon Rook, le manque d’exposition aux microbes est le lien entre l’augmentation des problèmes de santé chroniques, dont les carences en auto-immunité et la dépression.
Cette relation cerveau-intestin se révèle être le lien entre le jardinage et la santé mentale.
Salissez-vous: jardinez pour votre cerveau
Les avantages du jardinage sont nombreux. Non seulement c’est une activité exceptionnelle à intégrer dans votre routine quotidienne, mais il y a également une libération de neurotransmetteurs heureux indéniable.
Le jardinage est un bon investissement pour votre bien-être mental, à pratiquer à mains nues!

SOURCES :site internet sain et naturel via la newletter "enquête de vert" de Val'hor

L’aventure des plantes document INA

Vous vous souvenez de cette série d’émissions diffusée en 1982, l’aventure des plantes. L’Institut National de l’Audiovisuel propose toute la série, plus de 11 heures d’émission, pour moins de 50 euros (en téléchargement)

Souvenez-vous ou découvrez la fabuleuse histoire des plantes.
Jean-Marie Pelt vous raconte l'évolution du monde végétal et la vie des différentes familles de plantes.
A travers des documents en provenance du monde entier ainsi que de brefs dessins animés, partez à l’aventure des plantes !
Réalisation et production : Jean-Marie Pelt, Jean-Pierre Cuny
L'aventure des plantes - L'intégrale
26 vidéos, durée totale : 11h 15min 22s
Pour la première fois, retrouvez les 26 épisodes de la série documentaire "L'aventure des plantes" à prix doux! En téléchargement : 49,99 €

 

Le sanséviéria, encore une plante ancienne

Avec ses feuilles élégantes et pointues qui filtrent l’air, le Sanséviéria était une plante très populaire dans les années 1960 / 70. Facile à cultiver par les horticulteurs, le Sanséviéria était facile à conserver dans les boutiques des fleuristes et une plante increvable dans les maisons .
Originaire entre autres d’Éthiopie il est habituée à la chaleur. C’est en 1794 que le naturaliste suédois Carl Peter Thunberg l’emporta et lui donna le nom de la ville de San Severo, ville de son ami, le prince italien Raimondo di Sangro.

C’est une excellente plante dépolluante, très utile à la maison. Il régule l’humidité ambiante et il transforme les substances nocives en oxygène tout en étant très résistante et très peu exigeant. Cette plante du désert s’est facilement adaptée à la vie en appartement.
Il en existe environ 70 variétés : de grandes feuilles élancées d’une couleur gris-vert à rayures, à taches et à bord jaune, des feuilles rondes, des feuilles courtes en rosette etc ..
Les feuilles ont de robustes pointes qui semblent sortir droit de la terre. Ces pointes ne dépassent que rarement le mètre de hauteur. La croissance est très puissante à tel point que ces racines peuvent faire éclater le pot s’il devient trop petit. La plante fleurit rarement mais, lorsqu’elle fleurit, vous récompense avec un délicieux parfum sucré. S’il est bien en lumière ses feuilles seront bien claires, si vous l’éloignez, elles seront plus foncées.

  

Conseils :

• Le plus important : très peu d’arrosage, son terreau peut se déshydrater entre deux arrosages, c’est une plante du désert
• Lui donner un grand pot car il pousse rapidement.
• Il résiste très bien à une chaleur sèche, même celle d’un chauffage central.
• Il aime la lumière mais préfère être à l’abri d’un soleil trop brûlant.

Sources images et texte : Office Hollandais des Fleurs

Les Bromélias

Le bromélia le plus connu est l’Ananas et son fruit délicieux, mais il en existe plus de 1600 variétés. Les plantes sont trapues ou allongées et se développent à partir d’une rosette. La plante prend de la hauteur depuis ce manchon, avec de magnifiques bractées colorées entre lesquelles apparaissent de très particulières petites fleurs. Tous les bromélias sont monocarpes. Cela signifie qu’après la floraison, la plante arrive au terme de sa vie. De nombreux rejetons se sont alors formés qui fleuriront à leur tour dans quelques années.

Les bromélias proviennent pour la plupart des zones tropicales d’Amérique du Nord et du Sud, où ils se développent sous des conditions météorologiques très diverses. La famille des bromélias comprend des genres connus tels que l’ananas, le Guzmania, le Vriesea, l’Aechmea et le Tillandsia. En milieu naturel, la plupart de ces plantes poussent avec des racines filandreuses sur les arbres (épiphytes) sans soustraire de nourriture à l’arbre. Elles tirent leur nourriture de l’air.
L’assortiment de bromélias est diversifié et riche en couleurs. Les genres les plus connus sont le Guzmania et le Vriesea, le Guzmania formant des fleurs concentriques et le Vriesea plus plates. La feuille est toujours lisse et la plupart du temps verte mais il existe aussi des variétés à feuilles bicolores. Les deux sont disponibles dans de nombreuses variétés et tailles. Il existe même des variétés botaniques de Vriesea proposées comme plantes exclusivement feuillues, avec des motifs très décoratifs sur les feuilles. L’ananas fait également partie des Broméliacées, et porte le nom d'ananas ornemental dans le cas de la plante d’appartement. Ces plantes sont vendues pour leur fruit décoratif qui se développe dans la rosette. L’ananas ‘Pacifico’ a une belle couleur rouge. L’un des bromélias les plus anciens et les plus connus est le bromélia en forme de manchon nommé Aechmea. Jadis la plupart du temps avec une feuille en dents de scie, de nos jours avec un bord bien régulier et une magnifique bractée rose, l’Aechmea ‘Primera’. La variante classique rose a désormais de la compagnie avec des variétés en blanc, rouge, orange et bicolore. Un autre bromélia courant est le Tillandsia cyanea, avec une bractée rose d’où sortent des fleurs de couleur cyan.

Pour conserver un Bromélia :

• Le bromélia est très facile à soigner. La plante aime la lumière mais il faut éviter de la mettre en plein soleil.
• En été, le bromélia peut également être placé à l’extérieur, pourvu qu’elle reste à l’ombre une partie de la journée afin d’éviter les brûlures.
• La rosette contient des poils et écailles au pouvoir absorbant qui permettent à la plante de boire et se nourrir. Le bromélia a besoin d'un peu d'eau dans la rosette et un peu sur le terreau. Un arrosage par semaine lui suffit. Remplacer régulièrement l’eau dans la rosette.
• Durant la floraison, la plante peut être vaporisée d'eau sur les feuilles.
• Pour une floraison riche et prolongée, donner une fois par mois de l’engrais pour plantes.

Sources textes et photo : Office Hollandais des Fleurs

 

Les tisanes à tiges « Le Bénéfique », se faire du bien en se faisant plaisir

Craquez pour le concept original des tisanes à tiges Le Bénéfique ! S’occuper de soi passe par de toutes petites choses. J’aime bien boire une tisane et j’ai découvert ce site sur Internet qui propose des infusions de tiges et non de fleurs !

Un brin de tisane, s’il vous plaît !
Les tisanes à tiges Le Bénéfique sont 100% naturelles ! Les tiges de ses infusions sont cueillies selon une technique apprise des peuples nomades Yörük sur le Mont Ida en Turquie. Chaque plante est unique et mérite d’être dégustée en tant que tel : voilà la raison pour laquelle la marque a choisi d’utiliser des tiges et non pas des petits sachets traditionnels. Surprenez vos amis, tout en style !

Bien faits et bienfaits
Les tisanes Le Bénéfique sont organisées en gammes portant le noms d'hommes qui ont transformé leurs pays : Soliman le magnifique pour la Turquie et le roi François 1er pour les tisanes cueillies en France. En Turquie, ils cultivent camomille, sauge, thym, et lavande, tandis qu'en France, dans les Vosges, c’est plutôt trèfle rouge, l’achillée millefeuille, fleur de coucou, reine des prés, fleur de sureau, et romarin. Autant de plantes qui évoquent des bienfaits, entre les vertus relaxantes de la lavande, antioxydantes du trèfle rouge et anti-allergènes de la fleur de sureau...

A consommer sans modération !

Sources: Site internet et page facebook